ࡱ> '` bjbjLULU .?.?>>>D;;;&<\<z=(=p>>>@@@zzzzzzz$7}h:z>@@@"@@:z>>OzEEE@~8>>>zE@zEENr,&>w>v= _{;lB(u0wez0zXupfC`w>w0@@E@@@@@:z:z8E^@@@z@@@@$);; Rsum. Ce document donne une vue densemble sur le dveloppement en cours de WAMS (Association Mondiale de Stations Marines) et il dcrit des lments de sa valeur ajoute pour les sciences de la mer en tant que nouveau cadre global de coopration. WAMS est bti sur plusieurs associations marines existantes et ses missions et objectifs rejoignent les priorits de lUNESCO et de sa COI. WAMS souhaite collaborer et entrer en liaison avec la COI pour bnficier de son conseil scientifique et de son soutien logistique, et quelle prenne en considration la recevabilit du document pour son adoption par la 26me Assemble. LAssemble sera invite adopter le plan de travail propos pour mettre en oeuvre les activits conjointes de la COI avec WAMS contenues dans le Rapport davancement de WAMS, tel quamend la prsente session. Introduction La mise en oeuvre dune science marine dexcellence dans les aires ctires et locan ouvert implique lutilisation de moyens trs diffrents. Ceux-ci comprennent les stations et instituts marins, les navires de recherche, des instrumentations sophistiques et coteuses (amarres, autonomes, satellitaires, logistiques terre dotes dquipements analytiques ultramodernes, etc.) de mme quun personnel hautement spcialis et comptitif. Cependant des handicaps proviennent souvent, non pas dun manque de ressources financires, mais plutt de labsence dune organisation intgre. Plusieurs initiatives visant la cration de rseaux de stations ou laboratoires marins ont t testes et fonctionnent dj bien dans diffrentes rgions du monde. Le temps est maintenant venu de commencer planifier lorganisation dun nouveau forum mme dunifier les stations de recherche et instituts marins travers le monde. A aucun autre moment de notre histoire il na t si crucial, pour les stations marines, de se regrouper et de parler dune seule voix pour les questions de recherche marine. Lancement de lAssociation Mondiale de Stations Marines (World Association of Marine Stations WAMS) Le Rseau europen de Stations de recherche marine (MARS) est lorigine avec dautres rseaux de stations marines de lAssociation mondiale de stations marines (WAMS). Cette association mondiale a le potentiel ncessaire pour devenir la cl de voute dun rseau global de stations marines, en mesure dunir les stations marines existantes et leur rseaux rgionaux, et de crer ainsi des opportunits pour llargissement des collaborations travers le monde. Le rseau WAMS a t dabord discut en 2007, lors du 6me Congrs de Okazaki (Japon) et a donn lieu lbauche dune stratgie. Puis en 2008, une petite dlgation du rseau MARS sest runie avec les reprsentants de la COI, puis nouveau en 2009 avec Luis Valdes, le Chef des sciences ocaniques la COI qui a encourag et facilit la premire runion part entire de WAMS qui sest runie au sige de lUNESCO Paris, les 13 et 14 avril 2010. A cette occasion, les reprsentants de MARS, NAML, TMN et JAMBIO, ainsi que dautres reprsentants de la COI, du MAB et de POGO ont soutenu lunanimit la cration de WAMS en adoptant cette session davril 2010 comme runion inaugurale. De nombreuses stations de recherche marine sont situes proximit immdiate de la zone de transition entre les eaux ctires et ocaniques et pour certaines dentre-elles proches des eaux profondes du large et des abysses. Toutes ces caractristiques rendent ces centres trs privilgis pour aborder de nombreuses questions de recherche de base en ocanographie, en cologie marine et en biologie fondamentale, qui retiennent maintenant de plus en plus lattention des scientifiques. On peut estimer prs dun millier le nombre des stations et instituts ctiers qui peuvent tre identifis autour du monde ocanique, sous les latitudes du Nord et du Sud. Les connaissances et les bases de donnes accumules pendant des dcennies par ces stations ou laboratoires maritimes sont considrables mais, jusqu la prsente initiative, leur potentiel a t trop peu utilis et exploit. Les stations et instituts marins, grce leur localisation autour de la plupart des mers du monde devraient tre encourags jouer un rle important en tant quobservatoires de limpact du changement climatique sur la biodiversit et le fonctionnement des cosystmes. En outre, ils peuvent occuper une position centrale pour la collecte des donnes, cruciale pour le dveloppement des efforts de suivi long terme et dtudes approfondies des environnements ctiers et hauturiers, comprenant: la systmatique, lcologie et la biologie volutive, des gnes aux cosystmes; lco-gnomique des environnements perturbs et extrmes; la biotechnologie et le squenage du DNA; les cycles biogochimiques sensibles aux changements dorigine anthropognique et ainsi de suite. Enfin, les observatoires in situ futurs, ctiers et profonds, pourraient tre relis des quipements terre situs dans ces stations marines ctires. Beaucoup de ces ides sont actuellement discutes activement en Europe, particulirement sous les auspices du Comit marin de la Fondation europenne de la science (ESF Marine Board) (http://www. Esf.org/research-areas/marine-sciences/marine-board-plicy-statements.html) mais elles doivent tre encore exploites au niveau global. WAMS offre lopportunit de raliser cela. Les stations marines sont aussi intressantes comme bases terrestres dinfrastructures pour des tudes avances en biologie molculaire, neuroscience, biologie du dveloppement et de lvolution, de gntique et pour la recherche de nouvelles molcules de grand intrt mdical. Dans ce conteste, le Centre europen de ressources biologiques (EMBRC: HYPERLINK "http://www.embrc.eu/"http://www.embrc.eu/) nouvellement lanc runit 14 stations marines de 8 pays avec le Laboratoire europen de biologie molculaire (EMBO) de Heidelberg, Allemagne, dans le but de fournir des organismes marins comme modles dtude fondamentale en biologie molculaire permettant la dcouverte de nouveaux mdicaments. Toutes les stations marines partenaires de lEMBRC sont membres du rseau MARS et donc de WAMS. WAMS sera aussi une composante importante de la coopration avec OBIS-IOC et dautres rseaux tels que POGO, GEO-BON de mme que dans lexploitation des sries de donnes gnres par CoML. Cette coopration pourrait tre mise en oeuvre rapidement et un cot raisonnable, dans la mesure o les ressources humaines et les logistiques des stations marines et de leurs universits de rattachement et/ou les instituts de recherche sur le continent peuvent assister (et peut-tre dj soutenir), au moins en partie, les oprations spcifiques qui sy droulent. Les stations marines sont riches en ressources de scientifiques expriments et elles offrent des opportunits uniques pour inviter et hberger chercheurs et tudiants qui ont ainsi accs une couverture exceptionnelle de nombre des plus importants, mais aussi des plus vulnrables cosystmes marins du monde et de leurs ressources. Au fur et mesure de la reconnaissance de zones cls pour le dveloppement durable des cosystmes marins mondiaux, la recherche scientifique marine, la formation et lducation jouissent dune attention croissante. Au mme moment, et presque certainement pour une large part de cette nouvelle importance, le besoin et la demande de vulgarisation pour le public saccroit galement. Les stations marines ont une obligation daccroitre leurs efforts de communication et de vulgarisation, de sorte que leurs activits en matire de recherche et dducation soient perues plus directement par un large public. Le remboursement de ces efforts se mesure en termes dimage renforce pour la recherche, tout spcialement en direction des dcideurs et autres parties prenantes, dopportunits accrues de travail pour les tudiants diplms, et sans minimiser la satisfaction de pouvoir communiquer un savoir utile un large public. La valeur ajoute de WAMS Les stations marines et le domaine marin On estime prs dun millier le nombre de stations et instituts marins dans le monde ayant une longue histoire de recherche biologique et cologique, sous les latitudes du nord et du sud et incluant les rgions sensibles polaires. En contraste avec les autres instituts importants du continent, les stations marins sont distribues, de faon assez disperses, entre les principaux cosystmes ctiers sous les tropiques, les latitudes tempres et froides. Historiquement, elles ont t - et elles sont encore - des incubateurs pour une science crative et innovatrice. Leur communaut de culture et de traditions, qui les ont prdisposes mener des programmes en coopration combine avec une facilit daccs au matriel biologique pour la recherche, les ont encourags maintenir une tradition de recherche de grande qualit. Les stations marines dans le monde ont un fort potentiel comme infrastructure pour les programmes de recherche, de formation, dducation et de conservation de la diversit biologique marine. Leur succs sont reflts dans la diversit et lampleur des activits de recherche quelles soutiennent de la recherche biomdicale, la biologie molculaire et la gnomique, lcologie exprimentale et des systmes, et la circulation ctire-offshore. Les stations marines sont gnralement lies troitement aux institutions acadmiques ou aux musums ou aux instituts des pches; elles maintiennent une longue tradition dtude des organismes marins, associe la formation de scientifiques et de gestionnaires, qui se fait en communication et en change avec dautres stations marines, et des institutions continentales, et aussi dans les estimations dimpacts environnementaux. De nombreuses stations jouissent dun soutien gouvernemental assorti dun fort mandat pour la gestion des ressources. On dnombre six domaines de recherche pour lesquels les stations marines ont dvelopp, pendant plus dun sicle, des contributions remarquables: (1) lutilisation dorganismes marins comme modles pour la biologie du dveloppement, la biologie molculaire et la gntique, la biotechnologie, les neurosciences et la pharmacologie; (2) la longue histoire dinventaires et de monitoring de tous types dorganismes marins, formant une base solide sur laquelle difier pour la diversit biologique une vaste tude des gradients biogographiques; (3) les installations in situ dveloppes pour ltude exprimentale de certains aspects de la biodiversit, du niveau molculaire aux exprimentations sur des communauts naturelles dans lenvironnement marin ; (4) lvaluation des stocks de poissons et une aide llaboration de politiques stratgiques pour le renforcement de lconomie des pches dans les pays dvelopps et les pays en dveloppement; (5) la responsabilit de la collecte de remarquables sries temporelles de donnes de base, la fois biologiques et gochimiques et aussi physiques qui permettent dvaluer limportance des impacts humains et (6) la fourniture linfrastructures capables de rpondre rapidement des vnements non prvus et dtudier, plus long terme, les effets biologiques du changement environnemental. Les stations marines comme observatoires de la biodiversit Les stations marines sont idalement situes pour inventorier et monitorer la biodiversit marine et ctire grce leurs quipements, expertises, bases de donnes long terme, sries temporelles et leur localisation gographique. En plus des sdiments profonds, qui renferment un biotope dune immense richesse, la zone ctire a t la source majeure de dcouvertes originales en biodiversit marine depuis la fin du 19me sicle. Historiquement, les stations marines ont jou un rle trs important pour de telles dcouvertes et beaucoup de stations marines ont publi des inventaires qui dcrivent les modes de distribution des espces marines dans leurs rgions ctires locales. La plupart dentre elles possdent des collections de rfrence de faune et de flore marine locale et exotique, et beaucoup dentre elles sont bien quipes pour tudier les formes fragiles du plancton plagique (incluant le plancton glatineux, le pico-plancton, les cilis, les bactries et virus) et les groupes benthiques (bactries, cilis et champignons, meiofaune et macrofaune et les stades larvaires de toute sorte despces marines). La continuit de la recherche au voisinage des stations marines a conduit rassembler des bases de donnes long terme qui forment aujourdhui une des plus essentielles rfrences sur lesquelles on puisse valuer les impacts humain. Ces bases de donnes sont une ressource critique pour le monitoring de la biodiversit marine et linventaire, la standardisation et la comparaison de ces donnes reprsente un des enjeux majeurs entrepris par les rseaux de stations marines. III. Rseaux de stations marines Au cours des annes, certaines stations marines ont largi leurs champs doprations pour inclure lexploration plus grande chelle de la mer, mais beaucoup dentre-elles ont continu mettre laccent surtout sur les organismes et les cosystmes locaux. En consquence, les stations marines ont eu tendance oprer plus ou moins indpendamment, jusquau lancement, dans les annes 1990, de MARS et NAML et il fut alors reconnu, tant donn la complexit et la nature vaste des problmes de recherche, quune telle indpendance et lisolement quelle implique souvent ntait plus un mode dopration viable, et ne conduisait plus une science stimulante. Il fut alors reconnu que si les stations marines devaient jouer un rle dans la dtermination de priorits et de dveloppement de grands programmes pour y rpondre, leur confinement associ un certain provincialisme risquait de les faire disparaitre. Plusieurs rseaux nationaux et rgionaux ont t forms pour coordonner les recherche, la formation et lducation dans les stations marines. Ces rseaux tendent couvrir les cosystmes marins par une chaine dobservatoires marins susceptibles dintgrer leurs donnes long terme de sries temporelles et de dvelopper des initiatives pour encourager une meilleure utilisation des sries de donnes existantes. Les rcents dveloppements en mathmatique, physique, biologie molculaire, informatique, cologie marine et gnomique, biotechnologie, bioinformatique etc. ont pour effet damener une spcialisation toujours plus troite, de sorte quil est courant que les dbutants fassent partie de groupes qui ne communiquent pas suffisamment. Un objectif de WAMS est dassocier les jeunes scientifiques avec des scientifiques marins confirms dans des domaines cls de la science contemporaine, afin de favoriser les dveloppements des changes dides et de lexprience du terrain. Des difficults considrables dans les pays en transition et les pays en dveloppement empchent la mobilit des jeunes scientifiques et ils peuvent aussi souffrir du manque dencadrement par les scientifiques senior. LUNECO, avec sa COI et les Secteurs Sciences et Education peuvent ainsi tirer profit de la longue exprience des stations marines unifies dans WAMS. iv. Collections de ressources gntiques et gnomique De nos jours, un nombre croissant de stations marines maintiennent des collections de ressources gntiques dorganismes marins tels que gamtes, spores, culture de tissue et dembryons, algues, champignons, microorganismes prservs dans des dispositifs de stockage long terme. De mme, beaucoup de darchives de bibliothques de cDNA proviennent de nombreux organismes marins, de tissus et de cellules. Ici aussi, on peut noter une bonne possibilit dintgration de bases de donnes provenant de telles ressources gnomiques et cellulaires. Une telle organisation est dj en cours en Europe et il est maintenant opportun dtendre cette intgration au niveau global. v. Stations marines en association avec lUNESCO et sa COI De nombreuses stations marines et leurs rseaux ont une longue association avec lUNESCO et sa COI. Par exemple, les 30 laboratoires de lAssociation des laboratoires marins des Carabes (AMLC) ont tenu des runions scientifiques annuelles pendant des dcennies. Le Rseau de productivit marine ctire des Carabes (CARICOMP) avec plus de 20 stations marines dans 16 pays dbuta en 1985 avec le soutien du Programme ctier-marin de lUNESCO (COMAR) qui se poursuivit avec le projet Systmes ctiers et petites les (CSI). Aussi soutenue par lUNESCO, la Socit internationale sur les cosystmes de mangrove (ISME) fut cre en 1990 avec 40 membres institutionnels (secrtariat excutif lUniversit de Ryukus, Okinawa, Japon); elle a co-publi en 2010 lAtlas mondial des mangroves, avec le soutien de lUNESCO-MAB, la FAO, lUNEP, lITTO et Nature Conservancy (Universit de Cambridge). Les 80 stations marines en Europe, reprsentes dans tous les pays ctiers europens se sont regroups pour former le Rseau europen de Stations de recherche marine (MARS) lanc en 1990, avec une premire runion des directeurs organise en 1994 au sige de lUNESCO Paris. La mme anne, les stations marines des Etats-Unis formaient lAssociation nationale des laboratoires marins (NAML) comprenant plus de 90 stations marines et des grands lacs. Dautres rseaux similaires de stations marines (au niveau national et rgional) existent pour lAustralie: le Rseau tropical marin, le Japon: Association japonaise de biologie marine (JAMBIO), lInstitut de science marine du Pacifique (PIMS) avec 17 centres de recherche et de stations marines du Canada, USA, Hong Kong, Chine continentale et Australie. 17. Le regain dintrt rcent pour les sciences marines, aliment surtout par les questions du changement climatique, soulignent le besoin urgent de fdrer les rseaux rgionaux de stations marines au niveau mondial, et dencourager la formation ou la reconstruction de nouvelles. De nouvelles stations marines (ou rnoves et modernises) sont particulirement importantes pour les pays en dveloppement qui souvent manquent de telles structures essentielles, mais qui sont souvent situs dans des sites cologiques importants. La valeur ajoute par WAMS en association avec lUNESCO et sa COI facilitera grandement la fdration de programmes dcologie marine et de biodiversit de la COI. En outre, le partenariat WAMS-COI profitera aussi au Secteur des sciences exactes et naturelles de lUNESCO et lOrganisation dans son ensemble, et au del pour lensemble de la communaut internationale. Ce partenariat peut aussi profiter au Programme MAB de lUNESCO, puisque plus de 30% des Rserves de biosphre du MAB sont marines ou ont une composante ctire. Constitution et stratgie de WAMS Dfinition des objectifs de WAMS 18. WAMS sefforce de contribuer lamlioration de limage publique du rle jou par les stations marines dans la recherche, lducation et la formation, de mme que pour les changes de donnes essentielles une large gamme de sciences de base, la fois sur les systmes non-vivants et vivants et les ressources, la biodiversit marine et le fonctionnement des cosystmes, et lobservation long terme du changement climatique. WAMS et ses membres sengagent contribuer des activits de renforcement des capacits, assortis defforts spcifiques en faveur des pays en dveloppement. 19. WAMS offre ses membres un rseau global unique et une plateforme pour se rencontrer, communiquer et changer de linformation. Il peut initier, faciliter et promouvoir des ides et des projets qui ont un intrt long terme pour le dveloppement durable, lexcellence en recherche marine, ducation et formation, et la mise en rseau et le renforcement des capacits. Objectifs 20. Les objectifs de lAssociation Mondiale de Stations Marines (WAMS) sont les suivants: Organisation de runions et dateliers qui facilitent la mise en rseau, des fins lgitimes, de stations marines et dinstituts, dans leurs domaines reconnus dexcellence en recherche, en ducation, en formation et en communication avec le public et en renforcement des capacits; Stimuler, concevoir, coordonner ou participer au dveloppement de programmes internationaux interdisciplinaires; Encourager le renforcement des ressources scientifiques humaines et physiques, au niveau mondial, en accordant une importance particulire au monde en dveloppement; Ouvrir le dbat en ce qui concerne le dveloppement durable long terme des ocans et des mers ctires et rgionales. Crer des bases rgionales en matire de biodiversit et de sant des cosystmes; et Harmoniser linformation globale sur la biodiversit demande par les conventions internationales (par exemple la CBD) et des plateformes (par exemple IPBES). 21. A cet effet WAMS a la capacit doffrir et fournir les moyens logistiques pour: Dvelopper une plateforme de qualit pour se runir, communiquer et changer de linformation. Ceci est ralis par lintermdiaire: de la Runion Annuelles de WAMS organise par ses membres; de lorganisation de sminaires, de sessions en table ronde, dateliers, de groupes de rflexion (think tanks) et dautres activits dcides par le Board de WAMS et organises pour les membres de WAMS et de ses parties prenantes. Mettre en place une plateforme de communication, dchange dinformation et aussi de transferts de connaissance entre les membres et les parties prenantes. WAMS dans ce domaine travaille accrotre sa visibilit sur la toile (web), une coopration avec la presse, des bulletins dinformation, des publications et dautres outils de communication. Dvelopper un grand rseau global dcosystmes marins reliant les membres et les parties prenantes. Les cosystmes marins sont dune importance centrale pour la biologie de la plante, pourtant la comprhension dtaille de la faon dont les effets anthropogniques du changement climatique les affectent a t insuffisamment dveloppe. Le changement futur continuera crer dnormes dfis et cots pour les socits travers le monde, particulirement pour celles des pays en dveloppement. 22. Toutes les activits de WAMS tendent dlivrer un message auprs des dlgus participant aux congrs de WAMS, pouvant se prsenter sous la forme dune prsentation lors dune session de travail, dun avis spcialis lors dun atelier, de publication, dun film et dautres outils de communication. WMAS est un fournisseur de service pour ses membres, conduit par les besoins et la satisfaction de ses clients et utilisateurs, dans le champ de la science marine et de lducation. Adhsion WAMS et stratgie de participation 23. WAMS est un rseau global inclusif en mesure de runir ses membres et autres parties prenantes et aussi de fournir une plateforme de qualit pour se rencontrer et communiquer, changer de linformation et transfrer du savoir. Les membres sont les parties prenantes ayant un intrt professionnel dans ou avec la recherche en science marine en gnral. Les runions annuelles de WAMS inviteront les universitaires et les experts, les autorits internationales et nationales et les programmes, incluant la coopration Nord-Sud et Sud-Sud, occasionnellement dautres associations avec lesquelles WAMS a des liens spciaux, par exemple POGO. Le succs de WAMS en tant que rseau et plateforme de runion lchelle globale sera justifi par le fait que WAMS sefforce de maintenir sa base dadhrents en dpit de circonstances conomiques difficiles. 24. Cest le but de WAMS de rpondre rapidement et de faon rentable aux besoins exprims par ses membres. WAMS deviendra oprationnel dans le cadre de son statut et de son centre dintrt stratgique par: Son grand rseau global connectant les membres et les parties prenantes, Une plateforme de qualit pour se rassembler et communiquer, changer de linformation et transfrer du savoir, Des groupes de rflexion chargs dinitier, faciliter et promouvoir les ides et les projets visant au dveloppement long terme des sciences marines, ses partenaires et ses fournisseurs de services, Une contribution lamlioration de limage publique de la communaut scientifique marine globale. 25. En outre, WAMS sefforcera damliorer ses activits en faveur du transfert des connaissances et de limpact environnemental des activits humaines sur la biodiversit, la sant des ocans et le changement climatique. Organisation de WAMS 26. Les rgles de conduite peuvent tre consultes dans les articles du statut de lAssociation WAMS. Les structures principales de gouvernance sont le Conseil dadministration et lAssemble Gnrale. 27. la gestion quotidienne est assure par le Secrtaire Gnral sous la supervision du Conseil dadministration ou du reprsentant du rseau rgional. Les groupes de travail et les groupes de rflexion sont crs et organiss avec lapprobation du Conseil dadministration. Ces groupes comprennent les reprsentants du rseau reprsentatif rgional pour assister WAMS sur des projets spcifiques. Les experts/consultants, les universitaires et des reprsentants influants des autorit peuvent aider WAMS en tant que personnalits/htes invits. 28. Lors des trois prochaines annes, WAMS basera ses activits sur la recherche de fonds extradugtaires et de soutien en nature proposs par ses partenaires. Un plan de travail garantissant son autonomie et sa fonction sera planifi, discut puis adopt aprs la runion de 2012. Une fois approuv par le Comit directeur, le plan sera rendu oprationnel en 2013. 29. Afin doptimiser ses ressources, viter le chevauchement, et atteindre pleinement lobjectif principal dune stratgie de participation mondiale, WAMS doit coordonner ses activits avec lUNESCO et sa Commission ocanographique intergouvernementale (COI), en coopration avec dautres organisations internationales majeures, programmes en rseaux et associations marines. Stratgie propose pour le travail futur et suivi du potentiel de coopration avec la COI i. Implications financires et administratives 30. Aucun financement sur le budget rgulier de la COI na t allou aux activits relies WAMS dans le prsent plan biennal ou dans les plans du prochain biennium 2012-2013. En consquence, une aide en nature et sur fonds extrabudgtaires, de lordre de 80.000 US$ demandera tre engage par les Etats Membres sous la forme de contributions dsignes au compte spcial de la COI, si le secrtariat de la COI est en mesure de sengager dans le suivi de lexcution du plan de travail de WAMS (voir Annexe 1). ii. Dcision attendue de lAssemble 31. LAssemble sera invite adopter le plan de travail pour lexcution dactivits de la COI menes conjointement avec WAMS contenues dans le Rapport sur ltat du projet de WAMS, tel quamend la prsente session. Annexe 1: plan de travail de WAMS Plan de travail stratgique de WAMS Celui-ci sera dvelopp en collaboration avec la COI et le Programme MAB de lUNESCO, en excution de lobjectif de haut niveau 4 de la COI (2012-2013): Objectif de haut niveau 4 de la COI Procdures et politiques de gestion susceptibles dassurer la viabilit du milieu ctier et marin et de ses ressources Action 4(a) Dvelopper la coopration rgionale et la participation des tats membres en assurant le renforcement des capacits et le transfert de technologie et en prenant des mesures pour renforcer les capacits des organes subsidiaires rgionaux et des bureaux dcentraliss de la COI. Le plan de travail fera lobjet dune discussion dtaille lors dune runion du Steering Group de la WAMS prvue en novembre 2011, loccasion de la runion annuelle des directeurs du rseau MARS. Des reprsentants de la COI et du MAB de lUNESCO, de POGO etc seront invits. RESUME EXECUTIF DES PRINCIPALES PRIORITES POUR LE STEERING GROUP DE 2012-13 Identifier les principales lacunes dans la composition des membres du rseau WAMS, par exemple pour lAfrique et lAmrique du Sud. Prendre contact avec de nouveaux membres potentiels de ces rgions. Dfinir les besoins scientifiques dont nous avons besoin pour aider les dcideurs. Dterminer comment contribuer le mieux possible aux activits de la COI et du programme MAB de lUNESCO. Slectionner les sujets dvelopper au cours des trois prochaines annes, comprenant des plans pour une utilisation partage des infrastructures et adoptant des procdures de bonnes pratiques pour la gestion. Promouvoir et participer en ateliers au dveloppement dides qui satisfont aux besoins de globalit, plus spcifiquement en relation avec les impacts du changement climatique sur les cosystmes marins et les services cosystmiques. Identifier des besoins communs de formation et de perspectives de carrire pour tous les personnels, scientifiques, techniques et de soutien administratif. Dvelopper la premire anne un plan de travail destin financer un secrtariat permanent bas probablement Paris, au sige de la COI lUNESCO. ACTIVITESACTIONSRESULTATS ATTENDUSPERIODE A. Programmes de suivi sur la sant cologique mens par les institutions membres et formation dun rseau mondial de sites dchantillonnage et de centres marins de rfrence plac sous la supervision de la COI. De nombreux membres ont des antcdents historiques prestigieux en tant que laboratoires de recherche marine ctire, avec une profusion de donnes de grande valeur sur le climat et la biodiversit qui remontent plus dun sicle..Identifier les listes de donnes long-terme dans les stations marines, et mettre en vidence lexistence de carences de donnes qui pourraient amener mettre en route dautres collections de groupes de donnes. Concevoir des tudes compares qui combinent linformation contenue dans les groupes de donnes afin de rpondre des question qui vont au del de scnarios dintrt local et les positionnent dans un contexte global. Utiliser ces donnes pour prdire des changements dans les communauts dus soit au changement climatique soit aux influences anthropognique, ou les deux la fois. Utiliser des outils gnomiques standardiss pour dtecter des tats de stress sappliquant au cas despces indicatrices soigneusement choisies et qui peuvent tre compars globalement. LAssociation met sur pied un systme centralis et permanent darchives destin au monitoring de donnes et qui sera accessible au public. La base de donnes doit tre intgre avec dautres bases traitant de mesures climatiques et de bases du changement global de la biodiversit et du climat, tels que GBIF, Lifewatch, UNESCO-MAB, POGO, GOOS, OBIS, ICES etc.  2013-15 2012-14 2012 2012-13 RECHERCHEB. Dveloppement dorganismes modles et de dispositifs pour la recherche exprimentale. Amliorer la disponibilit des modles existants et accroitre leur nombre en tant que de besoin. Cette action doit aussi inclure tous modles qui ont un intrt particulier pour ltude des impacts climatiques, et aussi des espces cls pour ltude du fonctionnement des cosystmes. Accroissement du nombre et plus large disponibilit en organismes modles. 2012-13C. Prise de participation aux plate-formes de recherches Dans le cas o cest possible, des installations et quipements remarquables, non usuels ou coteux sont mis la disposition des chercheurs, en association avec toutes les institutions membres. Utilisation plus efficace des plate-formes de recherche dans le monde entier.2012-13D. Programmes de recherche WAMS en collaboration Une partie importante de la mission de lAssociation sera dtablir, conjointement et par des recherche en commun, des programmes conus pour rpondre aux questions critiques les plus urgentes concernant les prdictions lies au changement climatique. Meilleure intgration de leffort global de recherche2012- en coursE. Bourses dtudes pour les sjours de rechercheLun des moyens les plus rentables dencourager les programmes de recherche en coopration est de faciliter les voyages et sjours dchanges entre les laboratoires membres. Dveloppement dun programme comptitif de bourses qui permette aux chercheurs, tous niveaux de leur carrire (tudiants diplms, chercheurs en post-thse et chercheurs confirms) de voyager entre les institutions membres lorsquils sont engags dans des recherches en sciences marines. 2012- en cours SOUTIEN DE WAMS POUR LES PAYS EN DEVELOPPEMENTRenforcement des capacits pour lenseignement suprieur et la formation en biodiversit marine, dveloppement durable et technologies innovatrices. Accroissement du potentiel humain en recherche marine et en dveloppement Offres accrues pour un accs aux programmes cls de formation au plan mondial Partage accru des expriences2012- en cours ATELIERS, PROGRAMMES DE FORMATION ET COMITES CONSULTATIFSLAssociation organisera des Ateliers techniques et des programmes de formation pour lensemble des personnels, aux sites des membres de WAMS, comprenant des tudiants de premier cycle et des diplms duniversits, des personnels scientifiques et, aussi tout particulirement des personnels techniques et de soutien administratif qui reprsentent la salle des machines des stations de recherche marine.Les chercheurs de toutes les institutions participantes ont la possibilit dactualiser leurs connaissances dans leurs domaines de recherche.2012- en cours CONFERENCES WAMSConfrences dactualit organises dans les stations marines, en association avec les cycles de confrences existants (UNESCO-COI, MAB, PNUE, Confrences de la CBD, etc. WAMS (via MARS) a la possibilit dtre un partenaire rgulier du nouveau programme de confrences de recherche de la Fondation europenne pour les sciences (ESF). HYPERLINK "http://www.esf.org/activities/esf-conferences.html"http://www.esf.org/activities/esf-conferences.htmlVisibilit accrue en sciences marines dans le paysage scientifique global2012- en cours DISSEMINATION DES DECOUVERTES DE LA RECHERCHE A DESTINATION DU PUBLICLAssociation consacrera tous ses efforts faire connaitre les rsultats de ses activits les plus importantes, particulirement ceux qui concernent les impacts sur le bien-tre humain et les cosystmes. .Etablir une base de donnes accessibles au public2012-2013 LOBBYING POUR LES AIRES MARINES PROTEGEES Une action de lobby est attendue des institutions membres, sparment ou en coopration, pour la cration et lexpansion des Aires marines protges et des Rserves marines, dans leurs rgions immdiates, mais aussi dans des sites loigns, si ncessaire. Efficacit accrue des actions de lobby pour les Aires marines protges et les Rserves marines. Accroissement des connaissances scientifiques concernant les Aires marines protges et les Rserves marines2012     ICG/CARIBE-EWSII/WD__ Page PAGE 2 IOC-XXIV/2 Annex __ Page PAGE 3 Distribution limite IOC-XXVI/2 Annexe 12 Paris, 20 mai 2011 Original: Anglais COMMISSION OCEANOGRAPHIQUE INTERGOUVERNEMENTALE (de lUNESCO) Vingt-sixime session de l'Assemble UNESCO, Paris, 22 Juin 5 juillet 2011 Point 8.3 de lordre du jour provisoire RApport sur lavancement et la mise en oeuvre de lassociation mondiale de stations marines (WAMS) IOC-XXVI/2 Annexe 12 Page PAGE 4 IOC-XXVI/2 Annexe 12 Page PAGE 3 IOC-XXVI/2 Annexe 12 IOC-XXVI/2 Annexe 12 Page  PAGE 9 IOC-XXVI/2 Annexe 12 Page PAGE 13  d g t  # J K L Y ζoYoMEAE5MEhiB*mH phsH hihimH sH hiB*mH phsH *h,B*PJ^JhmH nHphsH tH*hiB*PJ^JhmH nHphsH tH1hiB*H*PJ^JaJhmH nHphsH tH.hiB*PJ^JaJhmH nHphsH tH.hiB*PJ^JaJhmH nHphsH tH.hiB*PJ^JaJhmH nHphsH tH1hi>*B*PJ^JaJhmH nHphsH tHs t J K L Y  '}}{}p{{{ $ & Fa$gdEjlgkd$$IfTlV<024 laT$If$ 7$7$8$G$H$Ifa$  /7& v"#F%e'''( 1144U4?5569::::庬٤哤ـ|w|kahi5B*phhiOJQJmH sH  hiH*hi$hi5>*CJOJQJaJmH sH  hi5>*OJQJ^JmH sH hiB*phhi0J+B*mH phsH jhiUhi6B*mH phsH hiH*mH sH hiB*mH phsH himH sH hEjl5mH sH hi5mH sH &'G w"e'f'''*44U4::::Y>?CCCFF33$^a$$a$ & F,$ & Fd^`a$ ,$d^a$,$ & Fd`a$:::CCCCCFFhMQQQUUYYg]h]`` alamagg h'h(hmƵާޟqccWhiB*mH phsH hiB*OJQJ^JphhhDB*OJQJ^JphhiB*OJQJ^Jphhi>*mH sH hi>*mH sH himH sH hi5B*mH phsH !hi5>*B*OJQJ^Jphhi5B*OJQJ^JphhiB*phhiB*mH phsH hi5B*phhi5>*B*phFFF>JhMQQQQ'TUUV WW9XXYY3$ & F^a$3$ & F^`a$3$^a$  & F`  & F` & F$a$$ 7a$YYYZZ[]^`` aadbd2e{eefggg h  & F ` 3$ & F^a$  & F` & F3$ & Fa$ 3$ & F^a$3$^a$ 3$^a$gdhD hhjmlmmAnBnsnwpxpp}q~qqqqqqqqqqqqqq3$^a$ ($a$ & Fm@nAnwpxppKqUq}q~qqqqqqrrrs s!s)s*sտ㮡teXH9hi56^JaJmH sH hi56\^JaJmH sH hi6]aJmH sH hi6]^JaJmH sH "hi56\]^JaJmH sH hi^JaJmH sH hi5]^JaJmH sH hi5CJaJmH sH  hi5CJ]^JaJmH sH hiB*phh,B*OJQJ^JphhiB*OJQJ^JphhimH sH hiCJmH sH hi5\mH sH qqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqrr s!s"sEt$*s.sEtGt]u^u_uu'zTzUzczdz:{"|рҀӀ܀݀67UϽwn`Q`Gw$$Iflr</6  \ " t044 lah12hw$If/ & F/Ld$If^/`L L$If^`LwxyYOAA&/ & F Ld$If^`L 7d$G$Ifkd9$$Iflr</6  \ " t044 lahYZ}$If/ & F/Ld$If^/`L L$If^`LTOFF// & FLd$If^`L $$Ifa$kd4$$Iflr</6  \ " t044 lahT E< $$Ifa$kd/$$Ifl\</6\ " t044 lah$If/ & F/Ld$If^/`LX~$If/ & F/Ld$If^/`L/ & FLd$If^`L $$Ifa$bYYYYY $$Ifa$kd$$Ifl\</6\ " t044 lah01cde֎؎ Bغؤyl`PFlhiCJ ^JaJ hiCJOJQJaJmH sH hiCJ^JmH sH hi5^JaJmH sH hi5^JaJhi^JaJhiCJ^JaJhiCJOJQJaJmH sH +hiB*CJOJQJ^JaJmH phsH &hi0J+CJOJQJ^JaJmH sH hiOJQJ^JjhiOJQJU^J#hiB*CJOJQJ^JaJphhiCJ^JMe$If/ & F /Ld$If^/`L. & F Ld$9DIf[$\$^`L֎bYYYB/ & FLd$If^`L $$Ifa$kd$$Ifl\</6\ " t044 lah֎؎ 6- $$Ifa$kd`$$Ifl\</6\ " t044 lah$If/ & F/Ld$If^/`L/d$If^ABBC$If//d$If^// & F/Ld$If^/`LL$If^`L & F 7L$G$If^`L $$Ifa$ B͏C "#%:<BCIJKLMN_aghnм}qiq\qXQqi *hiaJhihi0JaJmHnHuhi0JaJjhi0JUaJ *hiaJ hiaJh_jh_Uhi^JaJhiCJ^JaJ'hiB*CJOJQJaJmH phsH 'hiB*CJOJQJaJmH phsH hiCJOJQJaJmH sH #hiB*CJ^JaJmH phsH hiCJ^JaJmH sH !"$`RPPPPPPP 7hdG$^hkd $$Ifl\</6\ " t044 lah $%=MNbrstƑǑȑ  `0pP ^ $ & `0p@ Pa$$ 2`0p@ dPla$ $ 7a$ $ 7a$  r nopqstƑȑɑ-TUV[\дд|c|VIhi>*^JaJmH sH hi\^JaJmH sH 0hi5B*CJ\^JhmH nH phsH tH hiCJ\^JmH sH hi5CJ^JmH sH "jhiU^JaJmHnHuhEjl^JaJmH sH hi5^JaJmH sH hi5CJ$^JaJ$mH sH hi^JaJmH sH hi hiaJhi0JaJmHnHujhi0JUaJ-UVWXYZ[\ r   D%$a$ `0pP ^  # `0pEP ^  & `0p@ P ^ \ ,-3456789NOijpqrstŵώ~r~~ώhbhWhhEjl0JmHnHu hEjl0JjhEjl0JUhEjl0JCJ^JaJjhEjl0JCJU^JaJhEjlCJ^JaJ!hEjl0JCJ^JaJmHnHuhi0JCJ^JaJjhi0JCJU^JaJhiCJ^JaJhihimH sH hi^JaJmH sH hi>*CJ^JmH sH hiCJ^JmH sH  '789NOdtu 7hdG$^h$a$  r ^ $ r a$gdEjl r tuhi^JaJhihEjl^JaJmH sH !hEjl0JCJ^JaJmHnHuhEjl0JCJ^JaJjhEjl0JCJU^JaJhEjlCJ^JaJh_ = 0 00&P 1hP. 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