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RECHERCHES OCÉANIQUES M. Salvatore Aricó, le nouveau Chef de la Section des sciences océaniques, a présenté les points de l’ordre du jour. Il a brièvement exposé sa vision. La recherche et les observations océaniques forment un ensemble homogène, c’est pourquoi la Section s’emploiera à coopérer étroitement avec les sections qui œuvrent dans le domaine des observations, des données et des informations océanographiques, et continuera aussi de participer à la constitution d’une base de connaissances étayées par des données scientifiques en vue de la formulation des politiques marines. La COI conservera son rôle moteur dans la recherche sur les océans et le climat par le biais : (i) de la collaboration continue avec le Programme mondial de recherche sur le climat (PMRC), notamment avec ses projets principaux CLIVAR et CliC ; (ii) de la coordination continue des travaux scientifiques menés à l’appui de la cible 14.3 du Programme 2030 sur l’acidification de l’océan, dont la COI est l’institution responsable, et de la mise en œuvre de l’offre adressée par les Coprésidents du Réseau mondial d’observation de l’acidification de l’océan (GOA-ON) à la COI et à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) tendant à accueillir conjointement son secrétariat scientifique et technique ; et (iii) de l’intensification de la participation de la COI à l’Initiative Carbone bleu, l’accent étant mis sur la contribution à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et à la mise en œuvre de l’Accord de Paris. Les travaux menés actuellement sur les efflorescences algales nuisibles, sur la désoxygénation, sur les déchets plastiques en milieu marin (dans le cadre du Groupe mixte d'experts chargé d'étudier les aspects scientifiques de la protection de l'environnement marin, GESAMP) et sur les nutriments (avec l’Union européenne et le FEM) constituent un ensemble cohérent d’activités au service d’un programme solide de la COI dans le domaine de la santé des océans. Un accent sera dorénavant placé sur la modélisation et les prévisions en collaboration avec le PMRC, l’Organisation des sciences de la mer pour le Pacifique Nord (PICES) et d’autres partenaires compétents, avec l’appui des groupes d’experts de la COI pertinents tels que le Groupe international pour les séries chronologiques d'écologie marine (IGMETS) et l’initiative TrendsPO. Le Comité scientifique de la recherche océanique (SCOR) continuera d’être étroitement associé à la COI dans plusieurs de ses activités relatives aux sciences océaniques. La Section des sciences océaniques assurera une rapide exécution de sa contribution à l’ensemble des activités de la COI en matière de développement des capacités, et à son rôle d’organisme responsable de la cible (a) de l’ODD 14, par le biais du Rapport mondial de la COI sur les sciences océaniques et de son Portail, en étroite collaboration avec l’IODE. Une coordination très étroite en matière de conception et de mise en œuvre des activités sera poursuivie avec les sous-commissions de la COI. M. Aricó a également souligné qu’il importait de favoriser le travail océanographique mené à la COI en mobilisant les contributions financières et en nature nécessaires, et il a fait état des généreuses contributions de plusieurs États membres à cette fin. L’Assemblée a apporté son soutien à l’ensemble actuel d’activités océanographiques. Elle a souligné que l’acidification de l’océan, la désoxygénation et la réponse des organismes et des communautés biologiques au changement climatique continuaient de faire partie des défis que pose le développement durable. L’importance des séries chronologiques, des observations biologiques dans le contexte de la recherche sur le changement climatique et de l’appui au renforcement des capacités en matière de sciences océaniques a également été mise en avant. L’Assemblée a fait part de son intérêt pour la poursuite des activités sur la modélisation et les scénarios, en partenariat avec les organisations pertinentes. Le représentant de l’Espagne a évoqué l’excellente coopération avec la COI en ce qui concerne le Projet COI-Espagne de « Protection du grand écosystème marin du courant des Canaries ». L’Espagne s’est engagée à financer la troisième phase du projet, l’accent étant mis sur le changement climatique. 5.1 RAPPORT MONDIAL SUR LES SCIENCES OCÉANIQUES : PERSPECTIVES ET DÉVELOPPEMENT M. Aricó a rappelé que la première édition du Rapport mondial de la COI sur les sciences océaniques (GOSR) a été lancée avec succès le 8 juin 2017, lors d’une manifestation parallèle spécifique organisée en marge de la Conférence des Nations Unies sur les océans. Le Rapport rend compte pour la première fois de l’état des lieux et de l’évolution des capacités en matière de sciences océaniques à travers le monde afin de produire les connaissances nécessaires pour veiller à la santé et à la gestion durable des océans et exploiter pleinement leur potentiel en vue de réaliser le Programme de développement durable à l’horizon 2030. Plus particulièrement, le Rapport identifie et quantifie les éléments essentiels des sciences océaniques aux niveaux national, régional et mondial, notamment en ce qui concerne les effectifs, l’infrastructure, les données et les publications scientifiques. Il s’agit de la première tentative collective de mise en évidence systématique des possibilités, ainsi que des besoins en capacités, en ce qui concerne le développement de la collaboration internationale dans le domaine de la science et de la technologie océaniques. Le GOSR constitue une ressource à l’intention des responsables politiques, des universitaires et des autres parties prenantes qui cherchent à exploiter le potentiel des sciences océaniques pour relever les défis planétaires. Les prochaines étapes concernant l’évolution ultérieure du Rapport sont précisées dans le document IOC-XXIX/2 Annexe 10 Rev. L’Assemblée a remercié le Secrétariat d’avoir élaboré le Rapport mondial sur les sciences océaniques. Le Rapport servira de point de départ systématique pour les futures activités de collecte de données sur les capacités océanographiques, tout en évitant d’uniformiser de façon excessive la définition des sciences océaniques, et en tirant le meilleur parti des possibilités qu’offre l’harmonisation de la méthode utilisée pour établir l’état des lieux et les tendances dans le domaine des sciences océaniques. L’Assemblée a souligné que la mise en place d’indicateurs systématiques et de mesures indirectes sera essentielle pour évaluer les progrès accomplis dans la réalisation de l’ODD 14, et que le Rapport mondial permettait de mesurer ces progrès avec la participation active des États membres. L’Assemblée a également indiqué que, pour les futures éditions du Rapport, les questionnaires devront mieux tenir compte des différences entre les États membres. Le représentant de la République de Corée a indiqué que son pays entendait continuer d’appuyer le Rapport en apportant une contribution en nature et éventuellement financière. Les représentants de 15 États membres ont pris la parole. Les États membres ci-après ont choisi de fournir le compte rendu de leur intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : Norvège. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX.5.1. Rapport mondial sur les sciences océaniques : perspectives et développement L’Assemblée, Rappelant les décisions EC-XLVII/6.2 et XXVIII/5.1, adoptées par le Conseil exécutif de la COI à sa 47e session (Paris, 1er-4 juillet 2014) et l’Assemblée de la COI à sa 28e session (Paris, 18-25 juin 2015), Ayant examiné la première édition du Rapport mondial sur les sciences océaniques, lancée à l’occasion de la Conférence des Nations Unies sur les océans en juin 2017, au Siège de l’ONU (New York) ainsi que ses perspectives et son évolution ultérieure décrites dans le document IOC-XXIX/2 Annexe 10, Accueille avec satisfaction le rapport du Secrétariat et prend note des progrès, défis et perspectives concernant la réalisation d’un Rapport mondial sur les sciences océaniques détaillé ; Prend note de la première édition du Rapport mondial sur les sciences océaniques ; Exprime sa gratitude aux États membres qui ont répondu au questionnaire sur le Rapport mondial sur les sciences océaniques et fourni un soutien en nature ainsi qu’un soutien financier direct au projet ; Reconnaît la nécessité d’une compilation systématique, continue et à long terme des données concernant les capacités en sciences océaniques ; Reconnaît également la nécessité de relever les difficultés liées aux besoins à long terme auxquelles le Secrétariat est confronté dans la mise en œuvre du Rapport mondial sur les sciences océaniques avec des ressources financières et humaines limitées ; Décide d’intégrer les comptes rendus à l’échelle mondiale de la mise en œuvre de la cible (a) de l’ODD 14 et de l’indicateur connexe convenu par la Commission de statistique de l’ONU dans le cadre des futures éditions du Rapport mondial sur les sciences océaniques ; Approuve la mise en place étape par étape d’un portail de données sur le Rapport mondial sur les sciences océaniques dans le cadre de la Section des sciences océaniques et de l’IODE pour donner aux utilisateurs un accès aux données et aux produits de données, et faciliter la compilation de données en vue des futures éditions du Rapport mondial sur les sciences océaniques ; Prie le Secrétaire exécutif de la COI : (i) d’inviter les États membres par le biais d’une lettre circulaire à donner leur avis sur les enseignements tirés de la mise en œuvre du premier Rapport mondial sur les sciences océaniques, notamment sur les domaines dans lesquels le processus pourrait être amélioré ; (ii) de présenter à la prochaine session du Conseil exécutif en 2018 une proposition de plan de mise en œuvre pour la réalisation de la deuxième édition du Rapport mondial sur les sciences océaniques. Convient que le budget consacré à l’élaboration du Rapport mondial sur les sciences océaniques sera déterminé par la décision générale sur l’allocation budgétaire dans le cadre du projet de résolution XXIX-(11.1) relatif au Programme et budget global de la COI. 5.2 EFFLORESCENCES ALGALES NUISIBLES : 13e SESSION DE L’IPHAB, 3-5 MAI 2017, UNESCO, PARIS M. Gires Usup (Malaisie), Président du Groupe intergouvernemental de la COI chargé d'étudier les efflorescences algales nuisibles (IPHAB), a présenté ce point, ainsi que le rapport, le plan de travail (soumis à l’examen du Comité financier), les résolutions et les recommandations de la 13e session du Groupe intergouvernemental de la COI chargé d’étudier les efflorescences algales nuisibles. L’IPHAB a adopté huit décisions et deux recommandations proposées à l’Assemblée. Le Président de l’IPHAB a évoqué les décisions adoptées concernant l’orientation des activités de développement des capacités sur les HAB ; la finalisation du premier Rapport mondial de situation sur les HAB ; la poursuite de l’élaboration d’une stratégie interinstitutions COI-AIEA-FAO-OMS concernant l’intoxication alimentaire par la ciguatera ; l’initiative de recherche commune COI-SCOR sur les HAB dans un monde qui change pour répondre aux besoins de la société ; les initiatives sur les algues nuisibles et la désalinisation de l’eau de mer, et enfin le renforcement du Programme régional sur les HAB. Les recommandations portent sur le Plan de travail de l’IPHAB pour 2018-2019 et les activités futures du Groupe. Le Président a sollicité l’aide de l’Assemblée afin d’assurer la participation aux sessions et programmes de l'IPHAB des États membres qui n’en sont pas encore membres, ainsi que la reconnaissance du Groupe dans les organismes et institutions nationaux compétents. Le Président de l’IPHAB a demandé instamment aux États membres de la COI d’harmoniser soigneusement le plan de travail du programme HAB avec leurs priorités nationales et les financements potentiels afin d’intervenir dans la mise en œuvre de ce plan et de l’appuyer activement. L’Assemblée a accueilli avec satisfaction le rapport du Président de l’IPHAB et a répondu en appuyant fermement le Plan de travail de l’IPHAB proposé pour 2018-2019. Des États membres de toutes les régions ont fait savoir qu’ils continuaient de subir régulièrement les effets néfastes des efflorescences algales nuisibles, que ces phénomènes semblaient plus fréquents et qu’ils avaient une incidence sur les ressources biologiques, entraînant de graves répercussions économiques et des difficultés pour les pêches durables. Les conséquences des efflorescences algales nuisibles sur la désalinisation de l’eau de mer ont également été reconnues comme un problème important. L’Assemblée a relevé la pertinence de la question des efflorescences algales nuisibles, des activités menées dans le cadre de l’IPHAB en faveur de l’Évaluation mondiale des océans et de l’ODD 14, ainsi que de la variable océanique essentielle relative aux épisodes d’efflorescences algales nuisibles. Elle a en outre pris acte du lien entre l’eutrophisation et les efflorescences qui s’ensuivent, corrélation qu’elle a jugée préoccupante à cause des effets associés sur la santé publique et la sécurité alimentaire des produits de la mer. Elle a également noté qu’il fallait accorder encore davantage d’attention à la sensibilisation du public. Les conséquences des événements d’efflorescences algales nuisibles ont conduit plusieurs États membres à évoquer une augmentation des investissements nationaux dans la recherche et la surveillance du phénomène dans les mers côtières. L’Assemblée a fermement appuyé les initiatives visant à publier de manière systématique les données relatives aux événements et épisodes d’efflorescences algales nuisibles dans les composantes de l’OBIS HAE-DAT et OBIS/HAB, ainsi que des informations sur l’état d’avancement de l’élaboration du premier Rapport mondial sur les efflorescences algales nuisibles (GHSR). L’Assemblée s’est félicitée du lancement du programme de recherche mondial décennal COI-SCOR (Comité scientifique de la recherche océanique) sur les efflorescences algales nuisibles, estimant qu’il s’agissait d’une initiative importante et ciblée. Elle a pris acte des problèmes liés aux sargasses en Afrique de l’Ouest, qui exigent une attention particulière, la région ne disposant pas des capacités techniques suffisantes pour conseiller les décideurs et élaborer des mesures d’atténuation. En outre, l’Assemblée a salué les progrès de l’initiative en faveur d’une stratégie interinstitutions COI-AIEA-FAO-OMS concernant l’intoxication alimentaire par la ciguatera. Elle a reconnu que cela constituait un sérieux problème dans les régions tropicales, subtropicales et tempérées du fait de l’intensification du commerce interrrégional de poissons tropicaux et subtropicaux. Plusieurs délégués ont évoqué avec satisfaction le développement des capacités dont leurs institutions ont bénéficié par le biais de formations régionales ou internationales de la COI sur les efflorescences algales nuisibles, ainsi que l’utilité de l’interétalonnage pour la surveillance. La Malaisie et le Viet Nam ont confirmé leur volonté d’héberger des centres régionaux de formation sur les efflorescences algales nuisibles dans le cadre des activités de la COI/WESTPAC. Les délégués du Portugal et de l’Inde ont fait part de leur intention de devenir membres de l’IPHAB et de continuer de coopérer activement aux activités régionales et mondiales relatives aux efflorescences algales nuisibles. L’Assemblée a souligné l’importance que revêtait l’IPHAB pour continuer de coordonner l’action de toutes les organisations concernées en vue de renforcer les capacités d’atténuation du phénomène des efflorescences algales nuisibles. Les représentants de 15 États membres ont pris la parole. Les États membres ci-après ont choisi de fournir le compte rendu de leur intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : ___________. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX.5.2. Efflorescences algales nuisibles L’Assemblée, Ayant examiné le rapport succinct de la 13e session du Groupe intergouvernemental de la COI chargé d'étudier les efflorescences algales nuisibles (IPHAB), ses huit décisions et deux recommandations et le plan de travail pour 2018-2019 adopté lors de la session (IOC/IPHAB-XIII/3s) ; Approuve le rapport succinct de l’IPHAB-XIII et les recommandations qu’il contient (IOC/IPHAB-XIII/3s) ; Approuve le Plan de travail du Programme HAB pour 2018-2019 (recommandation IPHAB-XIII.1) et convient de l’examiner dans le cadre du projet de résolution XXIX-(11.1) concernant le Programme et budget global de la COI. 5.3 RAPPORT DU PROGRAMME MONDIAL OMM-COI-CIUS DE RECHERCHE SUR LE CLIMAT (PMRC) ET MISE À JOUR SUR L’EXAMEN MENÉ PAR SES INITIATEURS M. Aricó, Chef de la Section des sciences océaniques, a présenté ce point. Il a évoqué le rôle de la COI dans le soutien apporté au Programme mondial de recherche sur le climat (PMRC), qui constitue la plate-forme la plus inclusive et la plus fiable de recherche collaborative internationale sur le climat et sur la variabilité et les changements climatiques, appuyant directement les travaux du GIEC. Il a rappelé le processus en cours pour la conduite d’un examen indépendant du PMRC, y compris le mandat du Groupe d’examen du PMRC, et passé brièvement en revue l’état d’avancement de l’examen (IOC/INF-1342 Prov.). M. Aricó a informé l’Assemblée au sujet des consultations menées avec le Secrétariat du PMRC, ainsi qu’avec les coprésidents des principaux projets et domaines prioritaires du PMRC concernés, sur la future collaboration entre l’éventail de programmes en sciences océaniques de la COI et le PMRC. Les opportunités de renforcement de la collaboration qui ont été identifiées sont notamment les suivantes : l’intégration de la priorité accordée par la COI aux sciences biologiques et à la biogéochimie dans le programme CLIVAR du PMRC ; une nouvelle orientation de la COI sur les sciences océaniques et les régions polaires en collaboration avec le projet CliC du PMRC ; et la collaboration entre la COI et le domaine prioritaire du projet PMRC-CLIVAR sur les systèmes de remontées d’eaux froides. Ces options pour une future collaboration élargie entre la COI et le PMRC ont également été présentées. Le représentant du PMRC, M. Michael Sparrow, a pris la parole et déclaré que le Programme considérait ses liens avec la COI comme essentiels pour ses activités liées à l’océan et au climat. Actuellement, la COI et le PMRC travaillent ensemble dans le cadre de diverses initiatives scientifiques, par exemple la conférence sur l’élévation du niveau de la mer qui se tiendra le mois prochain à New York et la mission Polar Challenge, et envisagent de créer de nouvelles synergies entre leurs activités scientifiques, concernant notamment les régions polaires, les processus biogéochimiques et les écosystèmes. La COI et le PMRC aspirent à concevoir ces initiatives de manière conjointe. M. Sparrow a remercié la Commission du soutien financier qu’elle a fourni cette année au Programme, et qui revêt une importance capitale pour les activités scientifiques de ce dernier. Il a en outre fait savoir que le Programme attendait avec intérêt les résultats de l’examen le concernant, en particulier s’agissant de l’élaboration d’un nouveau plan stratégique du PMRC. Enfin, M. Sparrow a relevé qu’un nombre important d’activités de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) intéressent la COI, notamment l’Année de la prévision polaire, les mesures des gaz à effet de serre présents au-dessus des océans, la Veille mondiale de la cryosphère ainsi que l’engagement de l’OMM à l’égard d’instruments et d’instances tels que le Traité sur l’Antarctique et le Conseil de l’Arctique. L’Assemblée a déclaré soutenir la coopération de la COI et du PMRC dans leur domaine d’intérêt commun lié au rôle des océans dans le système climatique, notamment les systèmes de remontées d’eaux froides. Les représentants de trois États membres ont pris la parole. Les États membres ci-après ont choisi de fournir le compte rendu de leur intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : ___________. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX.5.3. Programme mondial de recherche sur le climat (PMRC) L’Assemblée, Rappelant que la COI s’est associée à l’OMM et au CIUS pour coparrainer le PMRC en 1993, Ayant examiné le mandat du Groupe d’examen du PMRC ainsi que les informations relatives à l’état d’avancement du processus d’examen (IOC/INF-1342), Se félicite de l’exhaustivité et de la transparence du processus d’examen ; Réitère que le rôle et la responsabilité de la COI vis-à-vis du PMRC consistent principalement à faire participer activement la communauté océanographique à la définition d’un programme de recherche visant à déterminer le rôle des océans dans le système climatique et à l’y faire contribuer ; Rappelle que le PMRC fournit une contribution directe aux travaux du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et une contribution indirecte aux travaux et délibérations de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques ; Salue la coopération constante entre la COI, l’OMM et le CIUS s’agissant de fournir, dans le cadre du PMRC, une plate-forme pour la recherche intégrée sur le climat ; Appelle le Groupe d’examen du PMRC à suggérer des modalités pratiques pour une meilleure harmonisation entre le PMRC et les programmes et activités pertinents de la COI ; et Appelle le Secrétaire exécutif de la COI à explorer les possibilités de collaboration accrue avec le PMRC telles que présentées dans le document IOC/INF-1342, et notamment l’intégration de l’éventail de programmes en sciences océaniques de la COI dans les activités du PMRC ; une nouvelle orientation sur les régions polaires en collaboration avec le projet CliC, et la collaboration avec le domaine prioritaire du projet PMRC-CLIVAR sur les systèmes de remontées d’eaux froides. 6. SYSTÈMES D’OBSERVATION ET GESTION DES DONNÉES 6.1 SYSTÈMES D’OBSERVATION 6.1.2 Système mondial OMM-CIUS-COI-PNUE d’observation du climat (SMOC) La Directrice du Secrétariat du Système mondial OMM-CIUS-COI-PNUE d’observation du climat (SMOC), Mme Carolin Richter, a présenté ce point. Le SMOC répondait aux besoins des États membres en matière de données et d’informations complètes, fiables et délivrées en continu sur le climat et les domaines connexes pour assurer un suivi, des recherches et des prévisions dans le domaine climatique, et de plus en plus pour évaluer les impacts du climat, contrôler l’efficacité des mesures d’atténuation, favoriser l’adaptation, développer les services d’information sur le climat et promouvoir le développement durable. Le SMOC couvrait les domaines atmosphérique, océanique et terrestre. Le GOOS contribuait grandement, par ses compétences, à son cycle d’évaluation et de planification. Ce lien solide apparaissait clairement dans le cadre du partenariat conjoint du Groupe SMOC-GOOS-PMRC sur les observations océaniques pour l’étude du climat (OOPC), le GOOS ayant la charge du Groupe sur la physique et le climat. Le Secrétariat de l’OOPC était hébergé par le SMOC depuis 2013. L’OOPC s’appuyait désormais sur le travail des groupes apparentés du GOOS (biogéochimie, biologie et écosystèmes) pour définir les normes, coordonner les observations et évaluer les résultats dans le cadre des variables climatologiques essentielles en biogéochimie et en biologie, lesquelles venaient compléter la définition des variables océaniques essentielles. Mme Richter a présenté le nouveau plan de mise en œuvre intitulé « Le Système mondial d’observation du climat : besoins relatifs à la mise en œuvre » (The Global Observing System for Climate: Implementation Needs, GCOS-200, GOOS-214), approuvé par le Comité directeur du SMOC à sa 24e session (octobre 2016, Guayaquil, Équateur). Lors de la 22e Conférence des Parties, les Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) avaient, dans la décision 19/CP.22 : relevé le rôle important joué par le SMOC pour répondre aux besoins de services climatiques et d’observation du climat dans le cadre de la Convention ; accueilli avec satisfaction le nouveau plan de mise en œuvre présenté par le Secrétariat du SMOC et préparé sous la conduite du Comité directeur du SMOC ; engagé les Parties à la Convention à travailler à la mise en œuvre complète du plan et à réfléchir aux actions qu’elles pourraient entreprendre pour y contribuer ; et invité les organismes des Nations Unies et les organisations internationales à appuyer la mise en œuvre complète du plan, le cas échéant. Cette décision affirmait avec vigueur les exigences scientifiques mondialement convenues liées aux observations continues à remplir pour appuyer la réalisation des objectifs des Parties à la CCNUCC. Mme Richter a indiqué que conformément au plan de mise en œuvre du SMOC, le Secrétariat avait coordonné une initiative visant à définir un ensemble d’indicateurs fondamentaux du changement climatique, qui devait servir de point de départ pour informer le public sur ce phénomène (indicateurs du changement climatique, GCOS-206). De manière générale, il existait deux types d’indicateurs : ceux qui décrivaient la situation et l’histoire du système climatique d’un point de vue physique, et ceux qui portaient sur les effets futurs du changement climatique, les risques qui y étaient liés et l’adaptation à ce phénomène, et avaient vocation à éclairer les futures décisions en matière de politiques. Les indicateurs climatiques devraient répondre aux critères suivants : pertinence, représentativité, traçabilité et actualité. Le nombre d’indicateurs historiques devrait être limité. Les indicateurs proposés pourraient être répartis dans les catégories suivantes : température et énergie ; composition atmosphérique ; océans ; cryosphère ; modification de l’utilisation des terres/la végétation ; phénomènes extrêmes et impact des activités humaines. L’adaptation constitue un autre aspect important du plan de mise en œuvre du SMOC. L’Organe subsidiaire de conseil scientifique et technologique (SBSTA) de la CCNUCC a invité le SMOC à collaborer avec les partenaires concernés pour continuer à élargir l’accès aux produits de données et aux informations, ainsi qu’à améliorer leur compréhension et leur interprétation, afin de soutenir la prise de décision sur l’adaptation et la mitigation aux échelons national, régional et mondial. Le SMOC, en collaboration avec la CCNUCC et d’autres partenaires, prévoit d’organiser une série d’ateliers de portée régionale visant à définir les observations nécessaires dans différentes régions. Ces ateliers permettront de mettre au point des plans visant à améliorer les capacités régionales en matière d’observation. Parmi les principaux thèmes initiaux figurera « l’eau : les épisodes extrêmes de précipitations, d’inondation et de sécheresse ». Les États membres se sont déclarés satisfaits du travail effectué par le SMOC et ont souligné l’importance d’une libre diffusion des résultats. Les représentants de quatre États membres ont pris la parole. Les États membres ci-après ont choisi de fournir le compte rendu de leur intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : ___________. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX.6.1.2. Système mondial OMM-CIUS-COI-PNUE d’observation du climat (SMOC) L’Assemblée, Accueille avec satisfaction le nouveau plan de mise en œuvre, intitulé « Le Système mondial d’observation du climat : besoins relatifs à la mise en œuvre » (The Global Observing System for Climate: Implementation Needs, GCOS-200, GOOS-2014) ; Convient que les actions liées aux océans devront être mises en œuvre par la Commission technique mixte d’océanographie et de météorologie maritime (JCOMM) et le Système mondial d’observation de l’océan (GOOS), et que les actions adressées aux agences satellites seront portées à l’attention du Comité sur les satellites d’observation de la Terre et du Groupe de coordination des satellites météorologiques ; Approuve les actions qui relèvent de la COI et de ses programmes ; Prie instamment l’ensemble des programmes de la COI d’intégrer les actions pertinentes dans leur plan de travail ; Invite les États membres à contribuer à la mise en œuvre des actions énoncées dans le plan de mise en œuvre du SMOC ; Demande au Secrétariat du SMOC : (i) de fournir des orientations aux États membres et aux programmes de la COI sur les actions relatives aux systèmes et réseaux coordonnés par la Commission afin de suivre et d’étudier les progrès de la mise en œuvre du SMOC ; (ii) de continuer de promouvoir un ensemble minimum et unique d’indicateurs décrivant les changements climatiques et de les affiner davantage. (iii) de faire participer activement les États membres et les mécanismes pertinents à l’application régionale du plan de mise en œuvre du SMOC. 6.1.3 Commission technique mixte COI-OMM d’océanographie et de météorologie maritime (JCOMM)] Les coprésidents de la JCOMM, Mme Nadia Pinardi (océanographie) et M. Johan Stander (météorologie), ont présenté ce point. Ils ont indiqué que la JCOMM était un organe subsidiaire principal de l’Assemblée de la COI et qu’elle lui faisait rapport en vertu de l’article 48.3 du Règlement intérieur. C’est également un organe constitutif de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), et la seule de ses huit commissions techniques à bénéficier d’un coparrainage. Mme Pinardi a souligné que la JCOMM contribuait à renforcer la collaboration entre les institutions météorologiques et océanographiques des États membres, au bénéfice des unes et des autres. Parmi les réalisations récentes figurent les activités visant à relier les systèmes de données océanographiques au Système d'information de l'OMM, les nouveaux outils mis au point par le Centre JCOMM de soutien aux programmes d'observation in situ (JCOMMOPS) pour créer des cartes, des outils d’analyse et des indicateurs de performance clés destinés à mesurer l’efficacité des systèmes d’observation, à l’appui du GOOS, l’accord tendant à œuvrer en faveur de la transition du Projet de Système d'observation du Pacifique tropical 2020 à une structure permanente associant les organes tant de la COI que de l’OMM, et la mise en place de systèmes opérationnels de prévision océanique. L’Indonésie et les coprésidents ont invité les États membres de la COI à participer, dans le cadre de délégations météorologiques et océanographiques intégrées, à la cinquième session de la JCOMM, du 25 au 29 octobre 2017, à Bali (Indonésie). La session examinera les travaux de la Commission, adoptera une stratégie de gestion des données de la JCOMM qui viendra compléter les stratégies de l’IODE et du Système d’information de l’OMM, adoptera des plans de travail portant sur ses domaines d’activité relatifs à l’observation, à la gestion des données et aux systèmes de prévision et services, et remaniera les équipes d’experts en vue de l’exécution de ces plans de travail. Elle révisera en outre le mandat du Centre JCOMM de soutien aux programmes d'observation in situ (JCOMMOPS). Mme Pinardi a souligné qu’il était important que chaque État membre de la COI désigne un point de contact national de la JCOMM pour la COI, qui viendrait s’ajouter aux membres de la JCOMM désignés par l’OMM, afin d’améliorer la communication relative aux activités de la JCOMM ainsi que l’engagement national en leur faveur, et d’encourager la coopération entre institutions océanographiques et météorologiques à l’échelon national ; elle a également souligné combien il était important de désigner des experts qui siègeraient au sein des groupes d’experts qui seraient créés lors de la cinquième session de la JCOMM. M. Wenjian Zhang, Sous-Secrétaire général de l’OMM, a rappelé que la JCOMM avait été créée conjointement par le Congrès météorologique mondial (résolution 14, Cg-XIII) et l’Assemblée de la COI (résolution XX-12) en 1999. Pour l’OMM et la COI, elle reste un organe constitutif (OMM) / un organe subsidiaire principal (COI) conjoint unique en son genre. M. Zhang a fait part d’une étude en cours sur la gouvernance de l’OMM, soulignant qu’elle pouvait être l’occasion d’améliorer la coopération avec la COI et de renforcer les programmes relatifs aux océans, à condition d’atténuer les risques. Un Groupe de travail du Conseil exécutif de l’OMM pour la planification stratégique et opérationnelle formule des recommandations sur les modifications à apporter à la structure des organes constitutifs de l’Organisation pour les rendre plus efficaces. Ce groupe de travail, qui, à l’heure actuelle, ne compte aucun représentant des États membres ou du Secrétariat de la COI, a présenté des recommandations initiales au Conseil exécutif de l’OMM à sa 69e session (EC-69, mai 2017), préconisant notamment de modifier la JCOMM. À ladite session, le Conseil a décidé ce qui suit : il est convenu que les changements devraient intervenir selon une approche en plusieurs phases pour assurer une transformation progressive et efficace ; il a souligné la nécessité de conserver des interfaces avec les organes pertinents d’autres institutions spécialisées telles que l’UNESCO et sa Commission océanographique intergouvernementale ; il a prié le Groupe de travail de la planification stratégique et opérationnelle d’élaborer, pour examen à sa 70e session [juin 2018], un ensemble de recommandations en vue d’une réforme des organes constitutifs de l’OMM, et d’établir une stratégie de communication, en prévoyant des consultations avec des organismes extérieurs concernés tels que la COI/UNESCO. Le Groupe de travail poursuivra ses travaux en tenant compte des observations des membres de l’OMM, et rendra de nouveau compte au Conseil exécutif de l’Organisation à sa 70e session, en juin 2018, afin de lui soumettre les recommandations finales à présenter pour adoption au Congrès météorologique mondial, qui se tiendra en 2019. L’Assemblée a salué l’important travail de la JCOMM en matière d’observation, de gestion des données et de fourniture de services, notamment sa solide contribution au GOOS. Elle a reconnu l’importance du renforcement des capacités et de la mise en œuvre régionale des activités de la JCOMM pour garantir que l’ensemble de la COI en bénéficie pleinement. L’Assemblée a pris note du processus en cours de réforme des organes constitutifs de l’OMM. Tout en appréciant la volonté de renforcer, par cette réforme, l’efficience et l’efficacité de l’exécution au regard des priorités stratégiques, elle a appelé à la vigilance quant au fait que cette réforme : (i) ne nuise pas à l’amélioration de l’intégration des communautés océanographique et météorologique, compte tenu des possibilités, mais aussi des risques, et (ii) garantisse que les États membres de la COI et leurs différents organismes puissent se prononcer, sur un pied d’égalité avec les membres de l’OMM, sur toute réforme de la JCOMM, en tant qu’organisme conjoint. M. Zhang a remercié les États membres pour leurs observations et a affirmé qu’il porterait celles-ci à l’attention du Secrétaire général et du Président de l’OMM. Les représentants de 13 États membres, ainsi que M. Johan Stander, ont pris la parole. Les États membres ci-après ont choisi de fournir le compte rendu de leur intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : ___________. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX.6.1.3. Commission technique mixte COI-OMM d’océanographie et de météorologie maritime (JCOMM) L’Assemblée, Ayant examiné le document intitulé « Future perspectives for JCOMM » (IOC-XXIX/2 Annex 12), Prend note avec satisfaction du soutien financier et en nature fourni par les États membres au Centre de soutien aux programmes d’observation in situ (JCOMMOPS) et les engage à continuer de le soutenir ; Prie instamment les États membres d’assurer la représentation des agences océanographiques dans leur délégation nationale auprès de la JCOMM-5 (octobre 2017, Bali, Indonésie) ; Convient d’examiner un Programme et budget global de la JCOMM dans le cadre du projet de résolution IOC-XXIX/11.1 relatif au Programme et budget de la COI ; Prie le Secrétaire exécutif et le Bureau de la COI de représenter les intérêts de ses États membres dans le cadre de l’examen de la gouvernance de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), s’agissant des questions relatives à la JCOMM. 6.2 GESTION DES DONNÉES 6.2.1 Échange international des données et de l’information océanographiques (IODE) : 24e session, 24-28 mars 2017, Kuala Lumpur (Malaisie) M. Yutaka Michida (Japon), coprésident de l’IODE, a présenté ce point. Il a informé l’Assemblée des résultats de la 24e session du Comité sur l’IODE et des recommandations formulées à l’intention de l’Assemblée concernant une stratégie de communication et de sensibilisation de la COI pour la gestion des données et de l’information ainsi qu’un plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’information pour 2017-2021, à étudier au titre du point 6.2.2. M. Michida a indiqué que le Comité avait continué de centrer ses efforts sur la restructuration de l’IODE. À cet égard, le Comité avait adopté deux décisions concernant : (i) une nouvelle structure de gestion de l’IODE tenant compte de la suppression progressive des groupes d’experts ; et (ii) la mise en place d’un système d’évaluation des performances des projets et activités de l’IODE. Le concept de gestion axée sur les résultats serait ainsi intégré dans l’IODE, permettant l’instauration de procédures bien documentées pour le lancement des projets, l’évaluation et la mesure de leurs performances à intervalles réguliers, et la clôture de ces projets. Cela devait améliorer l’efficacité globale et la définition des priorités au sein des plus de 20 projets de l’IODE (régionaux et mondiaux). Par ailleurs, le Comité avait recommandé de créer des unités d’information associées (AIU) en tant qu’éléments constitutifs de l’IODE qui seraient le pendant, pour la gestion de l’information marine, des unités de données associées (ADU) de l’IODE, lesquelles avaient déjà démontré leur efficacité, 20 unités ayant été créées depuis 2013. Les AIU avaient vocation à favoriser la constitution d’une nouvelle communauté de professionnels de l’information marine de grande ampleur, dont le rôle serait essentiel pour l’exécution du volet information de l’ODD 14 (entre autres). De ce point de vue, la collaboration entre l’IODE et l’Association internationale des bibliothèques et centres d’information sur les sciences aquatiques et marines (IAMSLIC) se poursuivrait et serait élargie. M. Michida a également indiqué que le Comité avait exprimé une grande satisfaction quant au travail accompli par le Système d’informations biogéographiques relatives aux océans (OBIS), notamment le projet pilote OBIS-ENV-DATA. Le Comité avait relevé que grâce à sa contribution à la recherche scientifique marine, l’OBIS avait bénéficié d’une forte visibilité et s’était fait mieux connaître lors de l’Assemblée générale des Nations Unies (A/RES/70/235 et A/RES/71/227). Par ailleurs, il avait pris note de la demande récemment formulée par la Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique (décision COPXIII/12, décembre 2016) de : (i) nouer un partenariat avec l’OBIS pour favoriser des possibilités de formation en vue d’incorporer les nouvelles informations scientifiques et le nouvel examen des informations existantes dans la future description des aires répondant aux critères des aires marines d’importance écologique ou biologique (AIEB), y compris les connaissances scientifiques et traditionnelles ; et (ii) fournir, dans le registre des AIEB, des liens vers les données et informations de l’OBIS relatives à ces aires. En outre, le Comité s’était félicité de l’accord de collaboration conclu entre le Réseau d’observation de la biodiversité marine (MBON) du Réseau d’observation de la biodiversité du Groupe sur l’observation de la Terre (GEO BON), le groupe « Biologie et écosystèmes » (BioEco) du GOOS et l’OBIS. Dans cet accord, les trois initiatives convenaient du rôle essentiel et central joué par l’OBIS dans la promotion d’un partage plus large des données et de la conservation et l’agrégation de ces dernières, en vue de simplifier l’incorporation d’ensembles de données intégrés ayant fait l’objet d’un contrôle de la qualité dans les modèles et les prévisions. Cependant, compte tenu de la difficulté de l’IODE/OBIS à répondre aux demandes de plus en plus nombreuses qui lui étaient adressées concernant la fourniture d’un appui à divers processus internationaux, avec les ressources limitées dont il disposait actuellement, le Comité avait vivement encouragé les États membres de la COI à soutenir davantage le Secrétariat et les nœuds nationaux, régionaux et thématiques de l’OBIS qu’ils hébergeaient, lesquels fournissaient des données, des infrastructures techniques et des compétences scientifiques. Le Comité avait également engagé ses membres à faire mieux connaître l’IODE et son OBIS à leurs représentants nationaux auprès des Nations Unies, afin d’améliorer la sensibilisation et le soutien en faveur de ces initiatives. M. Michida a regretté que seulement la moitié environ des 148 États membres de la COI aient créé un centre national de données océanographiques (CNDO) ou une ADU. Il a lancé un appel fort à mettre en place des CNDO ou des ADU ainsi que des AIU, en rappelant qu’il était indispensable de disposer de données et d’informations fiables dans le cadre des ODD. M. Michida a ensuite appelé l’attention de l’Assemblée sur le rôle croissant joué par l’IODE en tant que programme transversal répondant aux besoins de données et d’information de divers programmes et projets de la COI. Il a indiqué que le Comité avait remercié chaleureusement le Gouvernement flamand (Royaume de Belgique) du soutien constant qu’il apportait à l’IODE en hébergeant le Bureau des projets de la COI pour ce programme à Ostende (Belgique). Le Comité, notant que le mémorandum d’accord (2012-2016) entre la COI et le Gouvernement flamand avait expiré en décembre 2016, avait engagé les parties concernées à le reconduire. Concernant les activités régionales, le Comité avait salué le regain d’intérêt pour l’IODE manifesté dans la région de l’océan Pacifique occidental, et créé officiellement le Réseau de données et d’information océanographiques pour cette région (ODINWESTPAC). À cet égard, le Comité avait remercié la Chine pour son rôle actif dans le processus d’établissement du Réseau et pour le soutien considérable qu’elle avait fourni pour organiser diverses réunions dans la région. Relevant la suppression du Réseau de données et d’information océanographiques pour l’Afrique (ODINAFRICA), le Comité avait invité les États membres africains à élaborer des propositions de projet afin de ne pas perdre les compétences, produits et services développés dans le cadre des projets d’ODINAFRICA, pour que ceux-ci continuent de contribuer à la gestion durable des zones côtières de l’Afrique. Le Comité avait salué les progrès accomplis par les projets du Réseau de données et d’information océanographiques pour la région de la mer Noire (ODINBLACKSEA) et du Réseau de données et d’information océanographiques pour les régions des Caraïbes et d’Amérique du Sud – Amérique latine (ODINCARSA-LA). S’agissant d’ODINCARSA, le Comité avait salué en particulier les progrès de la phase 2 du projet d’Atlas marin des Caraïbes (CMA2) ainsi que ses efforts de partage de compétences et d’infrastructures, conformément à la Stratégie de développement des capacités de la COI. Le CMA2 avait ainsi partagé ses compétences avec l’Atlas côtier et marin pour l’Afrique (ACMA). Concernant la région de l’océan Indien central, le Comité avait recommandé de relancer le projet de réseau de données et d’information océanographiques pour cette région (ODINIOCINDIO) et invité la République islamique d’Iran à prendre la tête de cette initiative. En outre, le Comité s’était vivement félicité du travail accompli par le projet d’Académie mondiale OceanTeacher (OTGA), et notamment de la création de centres régionaux de formation de l’OTGA en Belgique, en Colombie, au Sénégal, au Kenya, au Mozambique, en Inde et en Malaisie (étant également prévu de créer quelques autres centres dans un avenir proche), ce qui permettait de dispenser des formations à l’échelon régional, de faire appel à des conférenciers locaux, d’utiliser les langues adéquates et de toucher davantage d’apprenants. Le Comité avait noté avec satisfaction que plusieurs de ces nouveaux centres étaient déjà invités à organiser des cours pour le compte d’autres projets et organisations. M. Michida a ensuite informé l’Assemblée de la proposition de stratégie de communication et de sensibilisation de la COI (IODE) pour la gestion des données et de l’information, laquelle visait à améliorer la communication des activités de l’IODE aux partenaires et parties prenantes grâce à un cadre solide pour les activités de communication et d’information, qui plaçait la présence de l’IODE aux niveaux mondial et régional au premier plan de la gestion des connaissances marines et côtières. M. Michida a également informé l’Assemblée des discussions tenues par le Comité au sujet du suivi de l’audit de la COI, en particulier la recommandation 15, qui préconisait la « construction d’un système universel d’information et d’accès aux données océaniques en l’assortissant d’une analyse coûts-avantages préparée au préalable par le projet IODE ». Par sa décision IODE-XXIV.4, le Comité avait décidé que l’IODE collaborerait avec les parties prenantes actuelles à améliorer l’accessibilité et l’interopérabilité des données et informations existantes, et qu’il contribuerait à la mise en place d’un système mondial d’information et de données océanographiques, qui serait baptisé « Système d’information et de données océanographiques de la COI », en tirant parti des solutions existantes, dans la mesure du possible. À cet égard, le groupe de travail intersessions de l’IODE, récemment établi et chargé de finaliser le document conceptuel relatif au Système d’information et de données océanographiques, sollicitait les observations de l’Assemblée sur le projet de document (IOC-XXIX/2 Annexe 3 Add. 2). L’Assemblée a exprimé un soutien ferme en faveur du programme IODE, a souligné son importance pour le partage de données et d’informations, ainsi que l’importance de ses services pour les autres programmes de la COI. L’Assemblée a remercié le Gouvernement de la Malaisie qui a financé et accueilli avec succès la 24e session du Comité sur l’IODE. L’Assemblée a remercié chaleureusement le Gouvernement flamand (Royaume de Belgique) du soutien constant qu’il apportait au Bureau des projets de la COI pour l’IODE, qui est hébergé par l’Institut flamand de la mer (VLIZ) à Ostende (Belgique), ainsi que du soutien financier considérable apporté aux projets d’Atlas marin des Caraïbes et d’Académie mondiale OceanTeacher. L’Assemblée a demandé aux États membres qui n’en avaient pas encore de mettre en place des centres nationaux de données océanographiques (CNDO), des unités de données associées de l'IODE (ADU) et/ou des unités d’informations associées de l’IODE (AIU) afin de continuer à compléter le réseau mondial d’échange de données et d’informations de l’IODE. Prenant acte du cadre de gestion de la qualité de l’IODE, l’Assemblée a recommandé aux CNDO et ADU existants de demander une accréditation officielle. D’autre part, l’Assemblée a appelé les États membres à continuer de développer et de soutenir les réseaux de données et d’information océanographiques (ODIN) afin d’améliorer la communication, le partage de données et d’informations et de mettre en commun des capacités au niveau régional L’Assemblée a fait part de son soutien à la proposition d’élaboration d’un document conceptuel concernant un système de données et d’information océanographiques (ODIS), et a souligné que l’ODIS devrait s’attacher à tirer parti des efforts existants. Tout en notant que le document final devait lui être remis à sa 30e session en 2019, l’Assemblée a demandé qu’un rapport d’étape soit présenté au Conseil exécutif à sa session de 2018. Par ailleurs, elle a souligné la nécessité d’associer le GOOS, la JCOMM et d’autres programmes de la COI, tant au niveau mondial que régional, au processus d’élaboration du document conceptuel de l’ODIS. L’Assemblée a pris note des impressionnantes réalisations de l’OBIS depuis son adoption par la COI en 2009, mais a observé que les ressources humaines et financières étaient insuffisantes pour permettre à l’OBIS de continuer à se développer en fonction des besoins, et a appelé les États membres à fournir un soutien extrabudgétaire. L’Assemblée s’est félicitée du rôle de chef de file joué par l’IODE dans l’élaboration de la Stratégie de communication et de sensibilisation, et a appelé les autres programmes de la COI à suivre cet exemple. L’Assemblée a salué l’hébergement de centres de formation régionaux par des États membres dans le cadre du projet d’Académie mondiale OceanTeacher, car ces centres augmenteront considérablement les possibilités de formation à l’IODE et aux programmes partenaires dans les régions et favoriseront une plus grande collaboration régionale. Les représentants de 18 États membres ont pris la parole. Les États membres ci-après ont choisi de fournir le compte rendu de leur intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : ___________. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX/6.2.1. Échange international des données et de l’information océanographiques (IODE) L’Assemblée, I 24e session du Comité sur l’IODE, 24-28 mars 2017, Kuala Lumpur (Malaisie) Ayant examiné le résumé exécutif et le rapport de la 24e session du Comité de la COI sur l’Échange international des données et de l’information océanographiques (IODE-XXIV, 28-31 mars 2017, Kuala Lumpur, Malaisie), ainsi que les recommandations et décisions qui y figurent (IOC-IODE-XXIV/3s), Approuve le plan de travail de l’IODE pour 2018-2019 (recommandation IODE-XXIV.6) et convient de l’examiner dans le cadre du projet de résolution relatif au Programme et budget global de la COI (XXIX/11.1) ; Approuve le rapport de la 24e session du Comité de la COI sur l’Échange international des données et de l’information océanographiques et les recommandations qu’il contient ; II Stratégie de communication et de sensibilisation de la COI pour la gestion des données et de l’information Rappelant la décision IODE-XXIII.3 concernant la création d’un groupe de travail intersessions chargé de définir une stratégie de communication et de sensibilisation pour la gestion des données et de l’information, Reconnaissant l’importante nécessité de faire mieux connaître et comprendre les activités et réalisations de l’IODE en matière de gestion des données et de l’information, Notant le nombre croissant d’organisations internationales relatives aux sciences marines ainsi que l’importance d’affirmer clairement le rôle unique joué par l’IODE dans le domaine de la gestion des données et de l’information, Sachant que : (i) la COI doit collaborer avec les États membres, les gouvernements, les organisations partenaires, les universités et le secteur privé afin d’expliquer les avantages globaux de la mise en place et du maintien d’un système de gestion des données et de l’information océanographiques pour la société, et de déterminer le financement nécessaire, (ii) la COI est investie d’un mandat solide dans le domaine de la communication et de la sensibilisation auprès de diverses parties prenantes, dont le grand public, (iii) la COI doit communiquer régulièrement avec sa communauté et disposer d’une stratégie relative à ses modalités de coopération et de participation aux activités des spécialistes des océans dans le domaine des données et de l’information ainsi qu’aux moyens d’accroître le nombre de ses membres, Approuve la Stratégie de communication et de sensibilisation de la COI pour la gestion des données et de l’information, telle qu’elle figure dans le document IOC/IODE-XXIV/6.3 ; Convient que la Stratégie devrait : (i) être publiée et largement diffusée et servir de cadre pour les activités de communication et de sensibilisation dans l’ensemble des programmes et projets de la COI ; (ii) être régulièrement réexaminée et révisée par le Comité sur l’IODE, en étroite consultation avec l’ensemble des programmes de la COI ; III Projet de document conceptuel relatif à un système de données et d’information océanographiques Rappelant la recommandation 15 de l’audit externe de la COI, qui préconise la mise en place d’un système universel d’information et d’accès aux données océaniques, ainsi que la décision IODE-XXIV.4, par laquelle a été créé un groupe de travail intersessions chargé de finaliser le document conceptuel relatif à un système de données et d’information océanographiques de la COI et de préparer un document d’analyse coûts-avantages présentant les avantages/bénéfices d’un système mondial de données et d’information, Ayant examiné le projet de document conceptuel présenté à la 24e session du Comité sur l’IODE, qui figure dans le document IOC-XXIX/2 Annexe 3 Add. 2, Prie les États membres d’adresser leurs observations et suggestions au Secrétariat de l’IODE en décembre 2017 au plus tard ; Demande au groupe de travail intersessions de l’IODE de poursuivre l’élaboration du document conceptuel relatif au système de données et d’information océanographiques de la COI, en tenant compte, entre autres, des résultats et du fonctionnement du Portail des données océanographiques de l’IODE, ainsi que des observations et suggestions formulées par les États membres, et de lui présenter, à sa 30e session en 2019, le document final assorti d’un projet de plan de mise en œuvre ainsi que d’une analyse coûts-avantages, dans la mesure du possible. 6.2.2 Plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’information M. Yutaka Michida (Japon), coprésident de l’IODE, a présenté ce point. Il a rappelé que le précédent « Plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’information océanographiques (2013-2016) » était arrivé à son terme. Un groupe de travail intersessions de l’IODE, établi en 2015 et présidé par Mme Lesley Rickard (Royaume-Uni) et M. Greg Reed (Australie), avait été chargé d’actualiser le Plan stratégique pour les années à venir. M. Michida a informé l’Assemblée que le Plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’information concernait toutes les données collectées dans le cadre des programmes de la COI. La vision du plan consistait à établir un « système complet et intégré de données et d’information océanographiques répondant aux besoins généraux et divers des États membres de la COI, pour les tâches courantes et à des fins scientifiques ». L’idée de fournir un service de données et d’information pour l’« indivis océanique mondial », c’est-à-dire le bien public mondial, occupait une place centrale dans cette conception. Le Plan stratégique avait pour objectifs : (i) de faciliter et promouvoir l’échange de données et d’information océanographiques conformément à la Politique de la COI en matière d’échange de données océanographiques (résolution XXII-6) ; (ii) de mettre en œuvre un système global de données dispersées susceptible de recevoir des données collectées par tous les programmes et projets de la COI et de les communiquer, de manière uniforme et transparente, à tous les utilisateurs ; (iii) de fournir un système capable de collecter des informations bibliographiques et factuelles venant de tous les programmes et projets de la COI et de les communiquer, de manière uniforme et transparente, à tous les utilisateurs ; et (iv) d’assurer la conformité avec la Stratégie à moyen terme de la COI pour 2014-2021 et le Programme de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030, en particulier l’ODD 14 relatif aux océans, ainsi qu’une contribution à ces derniers. Cinq exigences avaient été définies pour le long terme : (i) améliorer la capacité à intégrer les systèmes de données nationaux, régionaux et mondiaux ; (ii) améliorer les capacités et les fonctionnalités des systèmes des centres chargés de gérer les données et l’information océanographiques ; (iii) promouvoir un accès libre et ouvert aux données et à l’information océanographiques, ainsi que le respect de la politique de la COI en matière d’échange de données océanographiques ; (iv) améliorer l’accès à des données et à de l’information de qualité pour répondre aux besoins des utilisateurs de la communauté scientifique et de la société en général ; et (v) renforcer les capacités de gestion des données et de l’information océanographiques. Le coprésident de la JCOMM s’est félicité de l’élaboration du document conceptuel relatif à un système de données et d’information océanographiques et a informé l’Assemblée que la JCOMM-5 adopterait la stratégie de la JCOMM pour la gestion des données, qui s’inspirerait du Plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’information. Le représentant d’une organisation a pris la parole. L’organisation ci-après a choisi de fournir le compte rendu de son intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : ___________. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX.6.2.2. Plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’information (2017-2021) L’Assemblée, Rappelant (i) la décision IOC-XXVII/5.3.4, par laquelle a été adopté le Plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’information océanographiques (2013-2016), et aux termes de laquelle le Plan devait être régulièrement réexaminé et révisé par le Comité sur l’Échange international des données et de l’information océanographiques (IODE), (ii) la résolution XXII-6, par laquelle a été adoptée la politique de la COI en matière d’échange de données océanographiques, Sachant que (i) la politique de la COI en matière d’échange de données océanographiques est compatible avec d’autres politiques internationales pertinentes en la matière qui favorisent l’accès libre et gratuit aux données, par exemple la résolution 40 (Cg-XII) de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), (ii) l’IODE a mis en place un réseau mondial de centres nationaux de données océanographiques, des unités de données associées, des centres d’information et des réseaux connexes représentant une réserve considérable de compétences en gestion et partage des données et de l’information, (iii) de nombreux États membres de la COI ont constitué des réseaux décentralisés de dispositifs de gestion des données associant l’IODE, ainsi que d’autres centres, afin de traiter une grande diversité d’observations océanographiques, (iv) l’IODE et l’OMM ont établi une collaboration étroite, efficiente et efficace dans le domaine de la gestion des données océanographiques, (v) le Comité de la COI sur l’IODE et la Commission technique mixte d’océanographie et de météorologie maritime (JCOMM) ont mis en place un certain nombre de dispositifs conjoints pour développer la gestion des données océaniques, Constatant avec satisfaction que le Système de gestion des données et de l’information de la COI découlant de la Stratégie apportera ce qui suit : (i) des données concernant une grande diversité de variables, rassemblées, archivées et dont la qualité a été contrôlée, conformément à des normes et formats scientifiquement rationnels et bien documentés ; (ii) la diffusion en temps voulu de données concernant toute une série de variables (observations et résultats obtenus au moyen de modèles), en temps réel et en « différé », en fonction des besoins des groupes d’utilisateurs et de leurs capacités techniques (diffusion automatique et « à la demande ») ; (iii) un repérage et un accès plus faciles aux données et à l’information concernant toute une série de variables et de produits dérivés (y compris des prévisions, des alertes et des avis) pour les utilisateurs dotés de vastes compétences, Considérant que le Plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’information pour 2017-2021 a pour objectifs : (i) de faciliter et promouvoir l’échange de données et d’information océanographiques conformément à la Politique de la COI en matière d’échange de données océanographiques ; (ii) de mettre en œuvre un système global de données dispersées susceptible de recevoir des données collectées par tous les programmes et projets de la COI et de les communiquer, de manière uniforme et transparente, à tous les utilisateurs ; (iii) de fournir un système capable de collecter des informations bibliographiques et factuelles venant de tous les programmes et projets de la COI et de les communiquer, de manière uniforme et transparente, à tous les utilisateurs ; (iv) d’assurer la conformité avec la Stratégie à moyen terme de la COI pour 2014-2021 et le Programme de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030, en particulier l’Objectif de développement durable relatif aux océans (« Conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable »), ainsi qu’une contribution à ceux-ci, Approuve le Plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’information pour 2017-2021, tel qu’il figure dans le document IOC/IODE-XXIV/6.2 ; Convient que le Plan devrait : (i) être publié et largement diffusé et servir de stratégie de base en matière de données dans l’ensemble des programmes et projets de la COI ; (ii) être régulièrement réexaminé et révisé par le Comité sur l’IODE, en étroite consultation avec l’ensemble des programmes de la COI. 8. ÉVALUATION/INFORMATION POUR L’ÉLABORATION DE POLITIQUES 8.1 RAPPORT DU COMITÉ DIRECTEUR MIXTE COI-OHI DE LA GEBCO M. Shin Tani, Président du Comité directeur de la GEBCO, a présenté un rapport sur les activités menées entre 2015 et 2017 (IOC/INF-1345). Il a passé en revue les diverses activités entreprises par la GEBCO et a insisté en particulier sur les résultats du Forum sur la future cartographie du plancher océanique organisé par le Comité directeur de la GEBCO financé par la Nippon Foundation du Japon, qui s’est tenu à Monaco du 15 au 17 juin 2016. Les 150 participants qui ont assisté au Forum ont conclu que la tâche consistant à cartographier le plancher océanique demandait de renforcer la coordination mondiale des activités de cartographie et de regrouper toutes les mesures de profondeur disponibles en une base de données compilant une représentation bathymétrique cohérente du plancher océanique mondial. Ainsi, les logiciels d’analyse et de post-traitement bathymétriques, la technologie relative aux bases de données, l’infrastructure informatique et les techniques de quadrillage devraient être pris en considération au même titre que les dernières nouveautés des méthodes de cartographie du plancher océanique. Le président du Comité directeur de la GEBCO a informé l’Assemblée que pour répondre à ces besoins, la GEBCO avait mis au point un projet important intitulé « Seabed 2030 » visant à développer les activités de cartographie de l’océan à l’échelle mondiale, de sorte que tout élément du relief sous-marin de plus de 100 mètre soit cartographié d’ici à 2030. À la Conférence des Nations Unies sur les océans qui s’est tenue à New York du 5 au 9 juin 2017, la Nippon Foundation s’est engagée à financer cette initiative. Enfin, le Président a indiqué à l’Assemblée que le Comité directeur de la GEBCO s’était félicité des résultats de l’examen de la GEBCO par la COI, qui avait conduit à un réengagement de la COI au sein de la GEBCO. Il a cité des activités de la GEBCO qui pourraient être financées grâce aux fonds du programme ordinaire de la COI pour l’exercice biennal 2018-2019. Julian Barbière, Chef de la Section des politiques marines et de la coordination régionale, a informé l’Assemblée des mesures prises pour créer un Groupe de travail de la COI sur les besoins des utilisateurs et les contributions aux produits de la GEBCO comme demandé par le Conseil exécutif dans sa décision EC-XLIX/4.4. Il a également souligné qu’à la suite de l’examen de la GEBCO réalisé en 2015-2016 et de la décision des États membres de la COI tendant à renforcer la contribution de la Commission à la GEBCO, un article budgétaire avait été créé dans le projet de programme et de budget de la Commission. Le représentant de l’OHI a mis en avant les domaines de coopération avec la COI, notamment dans le cadre de la GEBCO, et a annoncé que les États membres de l’OHI avaient adopté, lors de la première session de l’Assemblée de l’Organisation, une résolution relative à l’amélioration de la disponibilité des données bathymétriques à travers le monde. Il s’est également félicité de l’allocation budgétaire que la COI prévoyait de consacrer à la GEBCO et qui marquait ainsi le renouveau de la longue et fructueuse coopération entre la COI et l’OHI. Il a également informé l’Assemblée que l’OHI appuyait la proposition de la COI tendant à proclamer une décennie internationale des sciences océaniques pour le développement durable et qu’elle se félicitait que la décennie sur les sciences océaniques appelle l’attention sur la cartographie de l’océan. Le projet « Seabed 2030 », qui devait être mis en œuvre dans le cadre de la GEBCO, représentera une contribution majeure à la mise en œuvre de la décennie sur les sciences océaniques et à l’ODD 14. L’Assemblée a accueilli avec satisfaction le rapport du Président de la GEBCO et a exprimé son soutien à la participation accrue de la COI aux travaux de la GEBCO. L’Assemblée s’est aussi félicitée du nouveau projet « Seabed 2030 » qui devait être mis en œuvre dans le cadre de la GEBCO et a remercié la Nippon Foundation de financer le projet. Plusieurs États membres ont fait valoir qu’il importait de passer d’une cartographie occasionnelle à une approche plus coordonnée, qui s’articulerait autour d’exercices de cartographie à l’échelle des bassins, comme dans l’Atlantique du Nord. La deuxième expédition internationale dans l’océan Indien représentait également une excellente occasion d’encourager la coopération dans le domaine de la collecte et de l’échange de données bathymétriques. Plusieurs États membres ont souligné l’importance pour leurs pays du renforcement des capacités au niveau national par le biais des activités et des infrastructures de développement des capacités de la COI, notamment en Afrique. L’Assemblée a encouragé les États membres participant à des activités de recherche à coopérer aux campagnes de cartographie à l’échelle des bassins et à accélérer la réalisation des objectifs de la GEBCO et le partage des connaissances générales sur les océans. L’Assemblée a souligné l’importance des produits bathymétriques pour la communauté scientifique de la COI et la dimension cruciale de l’accès à une bathymétrie de grande qualité pour l’alerte et la préparation aux tsunamis. Certains États membres ont exprimé leur volonté de partager avec la GEBCO les données bathymétriques qui étaient collectées au niveau national. L’Assemblée a noté que la production collaborative de données bathymétriques offrait de nouvelles possibilités de combler les lacunes cartographiques mais qu’elle devait reposer sur des normes relatives aux métadonnées et des mécanismes de contrôle de qualité des données approuvés. Certaines délégations ont souligné que d’importantes quantités de données bathymétriques étaient collectées par des États membres en vue de soumettre une demande à la Commission des limites du plateau continental (CLCS) et qu’il fallait s’employer à les faire parvenir à la GEBCO. Les représentants de 16 États membres ont pris la parole. Les États membres ci-après ont choisi de fournir le compte rendu de leur intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : ___________. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX.8.1. L’Assemblée, I. Amélioration de la disponibilité des données bathymétriques à travers le monde Rappelant la décision EC-XLIX/4.4 concernant le « rôle de la COI dans le projet de carte générale bathymétrique des océans (GEBCO), état d’avancement de l’examen connexe », Notant l’adoption par les États membres de l’OHI de la résolution relative à « l’amélioration de la disponibilité des données bathymétriques à travers le monde » (IHO-A1/PRO-11), Notant également que la profondeur d’un pourcentage important des mers, océans et voies navigables du globe doit encore être mesurée directement, Soulignant que les connaissances bathymétriques sont à la base d’une exécution sûre, durable et d’un bon rapport coût-efficacité de la quasi-totalité des activités humaines menées en mer, à la surface comme en-dessous, Reconnaissant la pertinence de la bathymétrie dans les aspects maritimes des objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030 des Nations Unies, de l’Accord de Paris signé au titre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, et du Cadre d'action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015-2030, Consciente que la communauté scientifique de la COI a constamment besoin de produits bathymétriques et que l’accès à une bathymétrie de grande qualité est important non seulement pour la navigation, mais aussi pour d’autres finalités dont l’océanographie, l’alerte et la préparation aux tsunamis et la modélisation climatique, Notant que d’importantes quantités de données sont collectées par le secteur scientifique et commercial à des fins autres que l’amélioration des cartes marines, mais qu’il n’est pas facile de les trouver ou d’y accéder pour d’autres finalités, Se félicite du résultat du Forum sur la future cartographie du plancher océanique (juin 2016, Monaco) et de l’élaboration ultérieure par le Comité directeur de la GEBCO de la proposition « Seabed 2030 » visant à améliorer la bathymétrie à l’échelon mondial ; Se félicite également du soutien apporté par l’OHI dans le cadre d’une collaboration avec la COI pour définir et mettre en œuvre une décennie internationale des sciences océaniques pour le développement durable, notamment dans les domaines liés à la cartographie des océans ; Incite les États membres de la COI à envisager de contribuer à des mécanismes encourageant la plus grande disponibilité possible de toutes les données bathymétriques, de sorte de favoriser le développement, la gestion et la gouvernance durables de l’environnement marin, notamment par les actions suivantes : (i) apporter un soutien constant au Projet GEBCO de l’OHI-COI [et au Centre de données pour la bathymétrie numérique de l'OHI] ; (ii) encourager le secteur scientifique et commercial à identifier et, si possible, à mettre à disposition pour une seconde utilisation, les données déjà collectées ou en cours de collecte dans un but scientifique ou commercial précis ; (iii) encourager la mise en place de méthodes supplémentaires pour la collecte de données bathymétriques, notamment, mais pas exclusivement, la bathymétrie collaborative, la cartographie bathymétrique par satellite et l’utilisation de véhicules autonomes pour la collecte de données environnementales incluant la bathymétrie. II. Comité directeur COI-OHI de la GEBCO Ayant examiné les documents GGS33/12 et IOC/INF-1345 qui rendent compte de l’activité du Comité directeur pendant la période intersessions, Rappelant la décision EC-XLIX/4.4 relative au « rôle de la COI dans le projet de carte générale bathymétrique des océans (GEBCO), état d’avancement de l’examen connexe », Prend note du rapport de la 33e session du Comité directeur de la GEBCO et du rapport biennal du Comité pour la période 2015-2017 ; Salue la création du Groupe de travail de la COI sur les besoins des utilisateurs et les contributions aux produits de la GEBCO et prie le Groupe de travail de fournir son rapport d’évaluation au Conseil exécutif de la COI à sa 51e session ; Encourage les États membres à soutenir les activités de la GEBCO et à faciliter le développement des capacités relatives à la GEBCO, notamment les possibilités de formation. 8.2 CONTRIBUTION AU DEUXIÈME CYCLE DE L’ÉVALUATION MONDIALE DES OCÉANS DES NATIONS UNIES (WOA-II) M. Alan Simcock, coordonnateur conjoint du Groupe d’experts, a informé l’Assemblée des mesures prises pour lancer le deuxième cycle de l’Évaluation. Le premier rapport sur l’Évaluation mondiale des océans des Nations Unies a été finalisé en décembre 2015 et publié en janvier 2016. Des centaines de scientifiques originaires de nombreux pays, représentant différentes disciplines et dirigés par un Groupe d’experts composé de 22 membres, a examiné l’état des connaissances sur les océans de la planète, ainsi que la façon dont l’homme tire profit de l’océan et l’impact de ses activités sur ce dernier. La COI a contribué à cet effort en fournissant un appui scientifique et technique tout au long de ce processus quinquennal. En décembre 2016, suivant les recommandations du Groupe de travail spécial plénier, l’Assemblée générale des Nations Unies a décidé de lancer un nouveau cycle d’évaluation (2016-2020). L’Assemblée générale a mis en place un nouveau groupe d’experts chargé de mener à bien l’évaluation, en s’appuyant sur une liste d’experts internationaux. D’autre part, elle a demandé : (i) la désignation de points focaux nationaux en vue de favoriser la mise en œuvre du programme de travail pour le deuxième cycle du Mécanisme de notification et d’évaluation systématiques, particulièrement en ce qui concerne le processus de nomination d’experts supplémentaires appelés à figurer sur la liste ; (ii) des échanges rapides entre la communauté scientifique, le Groupe d’experts, la liste d’experts, le Bureau et le secrétariat du Mécanisme, (iii) ainsi qu’une action de sensibilisation. Au cours du deuxième semestre 2017, il est prévu d’organiser cinq ateliers régionaux dans le cadre du Mécanisme dans le but de renforcer les capacités, de favoriser l’élaboration d’évaluations et de faciliter la communication et la sensibilisation. M. Simcock a attiré l’attention sur certains éléments du programme de travail du deuxième cycle de l’Évaluation pour la période 2016-2020, en particulier l’élaboration de trois résumés techniques sur les résultats du premier cycle de l’Évaluation, la mise en place d’une nouvelle liste d’experts appelés à appuyer les travaux du Groupe d’experts, et l’organisation de cinq ateliers régionaux au cours du second semestre 2017 pour collecter des propositions régionales susceptibles de contribuer à l’étude réalisée à l’échelle mondiale en vue de définir la portée du deuxième cycle de l’Évaluation. M. Barbière, Chef de la Section des politiques marines et de la coordination régionale, a brièvement expliqué comment la COI pouvait continuer d’appuyer le Mécanisme de notification et d’évaluation systématiques pour faire suite à l’invitation de l’Assemblée générale des Nations Unies, notamment (i) en incitant ses États membres et leurs experts à encourager de nouvelles candidatures à la liste d’experts ; (ii) en apportant de l’aide dans les domaines de l’information et de la communication ; (iii) en co-organisant les ateliers régionaux par l’intermédiaire de ses organes subsidiaires régionaux ; (iv) en organisant des activités de renforcement des capacités ; (v) en fournissant des produits, résultats et données d’évaluation au Groupe d’experts ; (vi) en accueillant des réunions du Groupe d’experts et/ou des réunions de l’équipe de rédaction. L’Assemblée a accueilli avec satisfaction le rapport du coordonnateur conjoint du Groupe d’experts et du Secrétariat de la COI et a souligné qu’il était important de maintenir un niveau de mobilisation élevée de la Commission dans les activités prévues au titre du deuxième cycle de l’Évaluation. L’Assemblée s’est félicitée de l’élargissement des possibilités offertes aux organes spécialisés tels que la COI pour soutenir le Mécanisme de notification et d’évaluation systématiques. Dans le cadre de la résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies définissant le type de contributions que les institutions spécialisées peuvent fournir, l’Assemblée a accepté les propositions d’activités de la Commission présentées par le Secrétariat et a préconisé une mobilisation plus forte des organes subsidiaires régionaux et des réseaux d’experts régionaux relevant de la COI dans le contexte du Mécanisme. D’autre part, l’utilité de programmes de la COI tels que l’OBIS et le GOOS a été soulignée. L’Assemblée a rappelé que l’évaluation du premier cycle du Mécanisme avait mis en évidence la nécessité d’encourager des évaluations davantage fondées sur des données et suivant des méthodologies de présentation de l’information harmonisées et cohérentes, rapprochant les activités d’observation des océans de l’élaboration d’approches quantitatives basées sur des indicateurs. Elle a également rappelé que ces aspects devaient être pris en considération dans les activités du deuxième cycle de l’Évaluation mondiale des océans, en particulier par le biais des ateliers régionaux. L’Assemblée a souligné la nécessité d’examiner l’interaction entre le deuxième cycle de l’Évaluation et les autres processus internationaux d’évaluation tels que ceux menés dans le cadre de la Convention sur la diversité biologique (CDB) ou du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). En outre, l’Assemblée a noté l’importance de la dimension régionale et, de ce fait, de la mobilisation des organisations régionales en tant qu’éléments de base dans la définition de la portée mondiale du rapport du deuxième cycle de l’Évaluation. L’Assemblée a salué les activités nationales entreprises pour appuyer la production d’évaluations du milieu marin, notamment les activités de renforcement des capacités. Elle a noté que les actions menées par le Groupe des ministres des sciences et de la technologie du G7 visaient elles aussi à renforcer les activités du deuxième cycle de l’Évaluation. Plusieurs États membres ont fait part de leur souhait de proposer des spécialistes appelés à figurer sur la liste d’experts ainsi qu’à participer aux cinq ateliers régionaux, notamment sur la base d’un autofinancement. Le représentant de la WESTPAC a mis en avant plusieurs ateliers coorganisés par la Sous-Commission pendant le premier cycle et a déclaré qu’elle était disposée à coorganiser l’atelier du Mécanisme de notification et d’évaluation systématiques pour la région du Pacifique Nord en coopération avec la Division des affaires maritimes et du droit de la mer de l’ONU (DOALOS). Le représentant du Partenariat pour l’observation de l’océan mondial (POGO) a proposé que le Partenariat contribue aux activités du Groupe d’experts, notamment par la mobilisation d’experts qui seraient présentés par les États membres de la COI en tant que candidats potentiels à la liste d’experts. Les représentants de 14 États membres ont pris la parole. Les États membres ci-après ont choisi de fournir le compte rendu de leur intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : ___________. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX.8.2. Contribution au deuxième cycle de l’Évaluation mondiale des océans des Nations Unies L’Assemblée, Ayant examiné le document IOC-XXIX/2 Annexe 13, Prend note de l’invitation de l’Assemblée générale des Nations Unies à la COI et à d’autres organes du système des Nations Unies de contribuer à la mise en œuvre du deuxième cycle du Mécanisme de notification et d’évaluation systématiques au titre des activités suivantes : action de sensibilisation, désignation d’experts appelés à figurer sur la liste d’experts, appui technique et scientifique au Bureau et au Groupe d’experts, organisation d’ateliers et de rencontres à l’intention des équipes de rédaction, renforcement des capacités et étude préalable à la réalisation des évaluations du deuxième cycle ; Prie le Secrétaire exécutif de la COI d’apporter un appui technique et scientifique au deuxième cycle du Mécanisme, conformément aux orientations du Groupe de travail spécial plénier ; Prie instamment les États membres de la COI de prendre part aux activités de l’Évaluation mondiale des océans, notamment en participant aux réunions du Groupe de travail spécial plénier, et aux cinq ateliers régionaux prévus au cours du deuxième semestre 2017 ; Encourage la Commission à continuer de soutenir les évaluations scientifiques des océans en tant que moyen d’améliorer l’interface science-politiques. 9. DÉVELOPPEMENT DURABLE ET GOUVERNANCE 9.1 RÉSULTAT DE LA CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LA MISE EN ŒUVRE DE L’ODD 14 : CONTRIBUTION AU PROGRAMME 2030 ET PROCESSUS D’EXAMEN DES INDICATEURS RELATIFS À L’ODD 14 M. Julian Barbière, Chef de la Section des politiques marines et de la coordination régionale, a présenté ce point en rappelant que le Programme de développement durable à l’horizon 2030 adopté par les États membres de l’ONU en 2015, et en particulier l’Objectif de développement durable 14, constituait un point de référence essentiel pour l’action que menait la COI aux côtés de ses États membres et pour sa présence au titre de programmes aux niveaux mondial, régional et national. Il a ensuite rendu compte des résultats de la Conférence de haut niveau des Nations Unies visant à appuyer la réalisation de l’objectif de développement durable n° 14, organisée au Siège de l’ONU, à New York, du 5 au 9 juin 2017. La Conférence avait adopté par consensus une déclaration approuvée, sous forme d’un appel à l’action en faveur de la mise en œuvre de l’ODD 14. M. Barbière a souligné que plusieurs dispositions de ce texte confirmaient la nécessité de renforcer la coopération internationale en matière de recherche en sciences marines et d’observation des océans, de gestion écosystémique et de développement des capacités, entre autres. La COI avait contribué à la Conférence en organisant 19 manifestations en marge de celle-ci, en lançant des produits phares tels que le Rapport mondial sur les sciences océaniques et le portail de la Journée mondiale de l’océan, et en formulant 11 engagements volontaires dans les domaines de l’observation des océans, de l’acidification des océans, du renforcement des capacités et du transfert des techniques marines, ainsi que de l’aménagement de l’espace marin. M. Barbière a fait observer que plusieurs cibles de l’ODD 14 relevaient directement des travaux de la COI, en particulier dans les domaines de la pollution marine, de l’acidification des océans, de la gestion fondée sur l’écosystème, ainsi que des capacités en recherche marine et du transfert des technologies marines, dimension commune à l’ensemble des cibles de l’ODD 14. L’ODD 13 concernant le changement climatique relevait lui aussi considérablement des travaux de la COI. Il a rappelé que la Commission jouait aussi un rôle actif dans la définition d’un cadre mondial d’indicateurs pour des cibles spécifiques des ODD, principalement les cibles 14.3 et 14.A pour lesquelles elle a été désignée organisme responsable par la Groupe d'experts des Nations Unies et de l'extérieur chargé des indicateurs relatifs aux objectifs de développement durable. Le cadre d’indicateurs pour les ODD est le mécanisme grâce auquel les États membres rendront compte à l’ONU de la mise en œuvre au niveau national de l’ensemble des cibles associées aux ODD. La COI a mis au point des plans de travail sur l’élaboration d’indicateurs connexes et les a soumis au Groupe d’experts à la 4e réunion de ce dernier, qui s’est tenue à Genève en novembre 2016. Au titre de ce rôle d’organisme responsable, la COI a développé plus avant la méthodologie relative aux indicateurs et les normes relatives aux données fondamentales pour ces deux cibles. Le document IOC-XXIX/2 Annexe 14 présente la méthode d’élaboration des indicateurs, ainsi que les plans de travail définissant les modalités d’établissement de rapports mondiaux au titre des cibles 14.3 et 14.a. L’Assemblée s’est félicitée des résultats de la Conférence des Nations Unies et s’est déclarée satisfaite du niveau d’engagement du Secrétariat dans les travaux de celle-ci, ce qui avait permis de conférer une grande visibilité à la COI en tant qu’organisation ainsi que de souligner la contribution de la science à la mise en œuvre de l’ODD 14 du Programme de développement durable. Plusieurs États membres ont mis en avant les activités qu’ils mènent pour traduire les objectifs et les cibles de l’ODD 14 au niveau national, en recourant notamment à des mécanismes spécifiques de coordination et de mise en œuvre à l’échelon national. Les États membres ont par ailleurs présenté les engagements volontaires qu’ils ont soumis à la Conférence des Nations Unies dans les domaines de travail de la COI. Certains États membres ont proposé de fournir une assistance technique pour développer les capacités de suivi de l’acidification des océans, conformément à la méthode relative à l’indicateur de l’ODD 14 sur ce phénomène. L’Assemblée a noté qu’il était important de mettre en place un dialogue à l’échelon régional par le biais des organes subsidiaires régionaux de la COI, en vue de définir les besoins régionaux et d’identifier des moyens de faciliter la mise en œuvre de l’ODD 14. Elle a en outre souligné la contribution que pourrait apporter la COI dans des domaines relevant d’autres ODD, par exemple l’ODD 13 relatif au climat ou l’ODD 2 relatif à la sécurité alimentaire. L’Assemblée s’est félicitée du rôle de la Commission en tant qu’organisme responsable pour deux cibles de l’ODD 14, et a invité tous les programmes de la COI concernés à contribuer à cette tâche importante en vue de perfectionner la méthode relative aux indicateurs, en particulier concernant l’indicateur 14.3.1. Le représentant de la WESTPAC a mis en avant les activités actuellement menées en vue de promouvoir l’ODD 14 dans la région du Pacifique occidental, notamment la participation et la collaboration au Forum Asie-Pacifique pour le développement durable, organisé en mars 2017 à Bangkok, et la formulation par la WESTPAC de deux engagements volontaires qui ont été présentés à la Conférence des Nations Unies sur les océans. Les représentants de 14 États membres ont pris la parole. Les États membres ci-après ont choisi de fournir le compte rendu de leur intervention en plénière sur ce point de l’ordre du jour pour inclusion dans l’Annexe d’information au rapport de la réunion : ___________. L’Assemblée a adopté la décision IOC-XXIX.9.1. Contribution aux travaux de la Conférence des Nations Unies sur la mise en œuvre de l’ODD 14 et au processus relatif aux indicateurs des ODD L’Assemblée, Ayant examiné les documents IOC-XXIX/2 Annexe 14 et IOC/INF-1346, Rappelant la décision EC-XLIX/4.1 qui définit les contributions stratégiques de la COI à la mise en œuvre du Programme 2030 et au processus relatif aux ODD, Reconnaît l’importance du résultat de la Conférence des Nations Unies visant à appuyer la réalisation de l’objectif de développement durable n°14, organisée à New York du 5 au 9 juin 2017, ainsi que de la participation active du Bureau et du Secrétariat de la COI à sa préparation et à ses travaux ; Prend note de l’Appel à l’action adopté lors de la Conférence des Nations Unies, et en particulier des dispositions relatives à la recherche scientifique marine et au développement des capacités, en tant que cadre directeur pour l’élaboration de la décennie internationale des sciences océaniques pour le développement durable proposée ; Prend également note de la mission de la COI en tant qu’organisme responsable pour les indicateurs spécifiques de l’ODD 14, en particulier dans le cadre des cibles 14.3 et 14.a ; Se félicite de la méthode proposée pour l’indicateur 14.a.1, telle qu’elle figure dans le document IOC-XXIX/2 Annexe 14, et recommande de la présenter à l’Équipe spéciale interinstitutions sur les ODD (IAEG-SDG), et prend note du projet de méthode pour l’indicateur 14.3.1 qui sera finalisé en 2018 et soumis pour examen au Conseil exécutif de la COI à sa 51e session.     IOC-XXX – page  PAGE iv IOC-XXX/00 – page  PAGE ii IOC-XXIX/3 Prov. Pt.2 IOC-XXIX/3 Prov. Pt.2 – page  PAGE 18 IOC-XXIX/3 Prov. Pt.2 – page  PAGE 19 IOC-XXIX/3 Prov. Pt.2 Distribution limitée 02?@ABLMNSTVWXjkßÔ­¡„|ti^„SH„:hÆ{Lh¥Ó5\^JaJhÆ{Lh_<–^JaJhÆ{Lh"c¶^JaJhÆ{LhÛ+}^JaJhÆ{Lh7æ^JaJhÊ+^JaJhÇä^JaJhÆ{LhK5^JaJ#hÆ{LhK5>*CJOJQJ^JaJhÆ{LhK55\^J)hÆ{LhK55>*CJOJQJ\^JaJ#hÆ{LhK5>*CJOJQJ^JaJhÆ{LhK5CJaJ@hÆ{LhK55;>*B*CJOJPJQJ\aJhnH phÿtH @ABYjânZI$„ö„& #$/„´Ifb$$„ö„& #$/„´Ifb$gd39Ì$ Ƭ¤d¤d$„ö„& #$/„´If[$\$a$b$Ukd$$If–l4”ÄÖò!&â! 6 ”ö””´öâ!6ööÖÿÖÿÖÿÖÿ”´2Ö92Ö 4Ö laöe4f4ytÒ(Â$ Ƭ¤<¤d$„ö„& #$/„´If\$a$b$jk°±ž|^$ Ƭ„´þ¤$„ö„& #$/„´If^„´þa$b$!$ Ƭ¤d¤d$„ö„& #$/„´If[$\$a$b$gd_<–`kd‚$$If–l”ÀÖ0Nò!&F&œ 6 ”ö””´öâ!6ööÖÿÿÖÿÿÖÿÿÖÿÿ”´2Ö 4Ö laöe4ytÒ(Âkqz‘ ¢£¥®¯±²³´µ¸ÊËÓÔêÕêñŸ±Ÿ±Ã‘|l`UFU:FhÇäCJaJmH sH hÆ{LhÚ'òCJaJmH sH hÆ{LhÚ'òmH sH hÆ{LhÚ'ò>*mH sH hÆ{LhK5^JaJmH sH y()jhÆ{LhK5CJU^JaJmH sH hÆ{Lh¥Ó5\^JaJ#hÆ{Lh"c¶>*CJOJQJ^JaJ#hÆ{Lh_<–>*CJOJQJ^JaJ#hÆ{LhK5>*CJOJQJ^JaJ)hÆ{Lh_<–5>*CJOJQJ\^JaJ)hÆ{LhK55>*CJOJQJ\^JaJ±²µ¶·¸ÊËÔ/ 0 1 2 3 4 ž™™™™”™‹‚™™™|| Æ9r „^„gdÚ'ò„^„gdÚ'ògdÚ'ògdÚ'ò`kd$$If–l”×Ö0Nò!&F&œ 6 ”ö””´öâ!6ööÖÿÿÖÿÿÖÿÿÖÿÿ”´2Ö 4Ö laöe4ytÒ(ÂÔÛßðöý     - . / 2 4 7 L îÞξ޾®¾Þ¾žŽî|qdR>&hÿ 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PART 21817.17Fn_boulayObradovic, Aleksandrat                     þÿà…ŸòùOh«‘+'³Ù0d% ¨Ðð$@ `l Œ ˜ ¤ °¼ÄÌÔÜä Projet de rapport - Partie 2IOC-XXIX/3 PROV. PART 2 n_boulay 1817.17FFr_COI_Assembl_2009Obradovic, Aleksandra29Microsoft Office Word@8“è<@ê}IRëÒ@Z3·aîÒ@‚§WïÒ·5]&G€#ÿÿÿÿ Rt °‘5ã  d._Ñ9Æûèÿ¼@"Arial--- 2 YÆÆ9Ñ_IOC  2 YðÆ9Ñ_- 2 YøÆ9Ñ_XXI  2 YÆ9Ñ_X  2 Y/Æ9Ñ_/  2 Y6Æ9Ñ_3   2 YCÆ9Ñ_  2 YJÆ9Ñ_Prov.    2 YÆ9Ñ_Pt.2   2 Y¹Æ9Ñ_  _Ñ9Æ'ÿÿ'ÿÿ'ÿÿ_Æ9Žûåÿ¼@"Arial---  2 XŽŽ9Æ_  _Æ9Ž'ÿÿ'ÿÿ'ÿÿ_Ž9ûñÿ@"Arial---  2 GF9Ž_  _Ž9'ÿÿ'ÿÿ'ÿÿ---  2 lLc  c'ÿÿ'ÿÿ5ãA ÌOWGH,‘(WOÿÿÿñññÇÇÇãããtttXXXfff‚‚‚¹¹¹«««ÕÕÕ,,,BBB                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           'ÿÿ¡ŸA Ì;ÿƒj)(ÿ;ÿÿÿŸŸŸÏÏÏßßßOOO¿¿¿???ïïﯯ¯___///ooo ÿ ÿÿ ÿ ÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿ ÿ ÿ                          ÿ            ÿ                          ÿ                                              ÿ             ÿ            ÿ                                  ÿ                      ÿ                          ÿ                ÿ                      ÿ   ÿ   ÿ    ÿ   ÿÿÿÿÿÿ ÿ ÿ ÿ                  ÿ             ÿ                     ÿ                   ÿ                 ÿ             ÿ           ÿ            ÿ               ÿ              ÿ                     ÿ             ÿ                 ÿ       ÿ      ÿ     ÿÿÿÿÿÿÿÿ            ÿ             ÿ               ÿ                 ÿ                  ÿ             ÿ                          ÿ                     ÿ                     ÿ                  ÿ                 ÿ             ÿ ÿ  ÿ   ÿ  ÿÿÿÇ  ÿ ÿ   ÿ ÿ          ÿ          ÿ                  ÿ               ÿ       ÿ           ÿ      ÿ         ÿ         ÿ           ÿ                  ÿ               ÿ ÿ  ñ   ÿ   ÿ ÿÿÿÿÿ ÿ ÿ ÿÿ ÿ ÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿ  ÿ ÿ ÿÿ ÿ  ÿÿÿ ÿÿÿÿÿ ÿ ÿ ÿ  ÿ  ÿ  ÿÿ ÿ ÿÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ÿÿÿ  ÿ     ÿ     ÿ     ÿ   ÿ   ÿ      ÿ     ÿ     ÿ     ÿ     ÿ     ÿ     ÿ     ÿ     ÿ     ÿ     ÿ      ÿ     ÿ     ÿ     ÿ     ÿ     ÿ    ÿ   ÿ    ÿ      ÿ   Õ     ÿ     ÿ     ÿ      ÿ   ÿ   ÿ  ÿ   ÿ     ÿ       ÿ   ÿ    ÿ    ÿ  ÿ  ÿ   ÿ     ÿ     ÿ      ÿ     ÿ     ÿ    ÿ     ÿ     ÿ    ÿ     ÿ     ÿ     ÿ    ÿ     ÿ      ÿ    ¹   ÿ    ÿ        ÿÿÿÿ   ÿ  ÿ ÿ    ÿ ÿÿ     ÿ     ÿ       ÿ          ÿ      ÿ    ÿ            ÿ        ÿ     ÿ               ÿ          ÿ      ÿ         ÿ   ÿ    ÿ     ÿ    ÿ t    ÿ  ÿ      ÿ  ÿÿ ÿ ÿ ÿ  ÿ  ÿÿÿÿ ÿ ÿ ÿ ÿ ‚ÿÿÿ ÿÿÿÿÿ'ÿÿ  2 }Lc  c'ÿÿ'ÿÿ  2 2Lc  c'ÿÿ'ÿÿ  2 SLc  c'ÿÿ'ÿÿ  2 tLc  c'ÿÿ'ÿÿ  2 •Lc  c'ÿÿ'ÿÿûíÿ¼@"Arial------ %2 ¸'cPROJET DE RAPPORT       2 ¸óc  c'ÿÿ'ÿÿ---  2 ÛLc  c'ÿÿ'ÿÿ--- 2 ÿkcPartie 2     2 ÿ¯c  c'ÿÿ'ÿÿûïÿ@"Arial--- 2 #Wc(Points    2 #Šc  2 #’c5.   2 # c,  2 #¥c  "2 #ªc5.1, 5.2, 5.3,        2 #c6  2 #c.1.2,    2 #?c6.1.3,    2 #pc6.2.1, 6     2 #©c.2.2,    2 #Êc  2 #Ðc8.1, 8.2      2 # c  2 #cet   2 #c  2 #"c9.1   &2 #?cde l’ordre du jour        2 #¿c)  2 #Åc  c'ÿÿ'ÿÿ---  2 ELc  c'ÿÿ'ÿÿ  2 fLc  c'ÿÿ'ÿÿ  2 ‡Lc  c'ÿÿ'ÿÿûñÿ@"Arial---  2 ¨Lc  c'ÿÿ'ÿÿ$ßo‚¢Òsûôÿ¼@"Arial--- )2 ‚sÒ¢COMMISSION OCÉANOGRA     2 ‚+sÒ¢PHIQUE     2 ‚bsÒ¢  ¢Òs'ÿÿ'ÿÿûôÿ@Times New Roman------ )2 sÒ¢INTERGOUVERNEMENTALE      ---  2 -sÒ¢   2 5sÒ¢  ¢Òs'ÿÿ'ÿÿûôÿ@"Arial---ûôÿ¼@"Arial- - - --- 2 ž sÒ¢(de l'UNESCO)  - - -   2 žásÒ¢  ¢Òs'ÿÿ'ÿÿ'ÿÿ ÿÿÿ ÿÿÿ ÿÿÿÑÈ¢---  2 °¢ÈÑ  ÑÈ¢'ÿÿ'ÿÿ'ÿÿÑÒ¢È--- 2 °È È¢ÒÑPARIS, le    2 ° È¢ÒÑ2  2 °È¢ÒÑ7  2 °È¢ÒÑ  2 ° È¢ÒÑjuin  2 °6È¢ÒÑ  2 °;È¢ÒÑ20  2 °KÈ¢ÒÑ1  2 °SÈ¢ÒÑ7  2 °[È¢ÒÑ  ÑÒ¢È'ÿÿ'ÿÿ #2 ÁÈÈ¢ÒÑOriginal anglais   2 Á-È¢ÒÑ  ÑÒ¢È'ÿÿ'ÿÿ'ÿÿ ÿÿÿ ÿÿÿ ÿÿÿ$ÈÑûñÿ¼@"Arial- - -  2 ÞÑÈ$Vingt    2 Þ³ÑÈ$- 2 Þ¸ ÑÈ$neuvième   ,2 ÞÑÈ$session de l'Assemblée        2 Þ¥ÑÈ$  $ÈÑ'ÿÿ'ÿÿ--- "2 ðÑÈ$UNESCO, Paris,   2 ðÑÈ$21  2 ðÑÈ$- 2 ðÑÈ$29  2 ð%ÑÈ$  2 ð)ÑÈ$juin 201  2 ð\ÑÈ$7  2 ðdÑÈ$  $ÈÑ'ÿÿ'ÿÿ'ÿÿ$ÒÑÈ---  2 ß²ÈÑÒ$  $ÒÑÈ'ÿÿ'ÿÿ'ÿÿ ÿÿÿ ÿÿÿ ÿÿÿ'ÿÿüÿÿÿ- úÿÿÿ- $½Z½ƒšƒšZ½Zú- - 'ÿÿƒš\½------ )2 nǽ\šƒDistribution limitée  ---  2 n@½\šƒ  ƒš\½'ÿÿ'ÿÿ'ÿÿû¼"Systemvxççt':ãÆv€Ëv4´ê€':--ccbbaaÑ7eþÿÕÍÕœ.“—+,ù®DÕÍÕœ.“—+,ù®Ü˜ pxˆ˜ ¨ °¸ÀÈ Ð KäUnescou6ÞZ  Projet de rapport - Partie 2PROJET DE RAPPORT Partie 2Q(Points 5., 5.1, 5.2, 5.3, 6.1.2, 6.1.3, 6.2.1, 6.2.2, 8.1, 8.2 et 9.1 de l’ordr!Efflorescences algales nuisiblesY 6.1.3 Commission technique mixte COI-OMM d’océanographie et de météorologie mari 6.2 GESTION DES DONNÉESY 6.2.1 Échange international des données et de l’information océanographiques (IY 6.2.2 Plan stratégique de la COI pour la gestion des données et de l’informationY 8.2 CONTRIBUTION AU DEUXIÈME CYCLE DE L’ÉVALUATION MONDIALE DES OCÉANS DES NATIProjet de rapport - Partie 1 TitreTitres TitleŒ0cksJob noJobDMS Languageä%‘Ház®dœ@F  !"#$%&'()*+,-./0123456789:;<=>?@ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ[\]^_`abcdefghijklmnopqrstuvwxyz{|}~€‚ƒ„…†‡ˆ‰Š‹ŒŽ‘’“”•–—˜™š›œžŸ ¡¢£¤¥¦§¨©ª«¬­®¯°±²³´µ¶·¸¹º»¼½¾¿ÀÁÂÃÄÅÆÇÈÉÊËÌÍÎÏÐÑÒÓÔÕÖ×ØÙÚÛÜÝÞßàáâãäåæçèéêëìíîïðñòóôõö÷øùúûüýþÿþÿÿÿ    þÿÿÿ !"#$%&'()*+,-./0123456789:;<=>?@ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ[\]^_`aþÿÿÿcdefghijklmnopqrstuvwxyz{|}~€‚ƒ„…†‡ˆ‰Š‹ŒŽ‘’“”•–—˜™š›œžŸ ¡¢£¤¥¦§¨©ª«¬­®¯°±²³´µ¶·¸¹º»¼½¾¿ÀÁÂÃÄÅÆÇÈÉÊËÌÍÎÏÐÑÒÓÔÕÖ×ØÙÚÛÜÝÞßàáâãäåæçèéêëìíîïðñòóôõö÷øùúûüýþÿ      !"#$%&'()*+,-./0123456789:;<=>?@ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ[\]^_`abcdefghijklmnopqrstuvwxyz{|}~€‚ƒ„…†‡ˆ‰Š‹ŒŽ‘’“”•–—˜™š›œžŸ ¡¢£¤¥¦§¨©ª«¬­®¯°±²³´µ¶·¸¹º»¼½¾¿ÀÁÂÃÄÅÆÇÈÉÊËÌÍÎÏÐÑÒÓÔÕÖ×ØÙÚÛÜÝÞßàáâãäåæçèéêëìíîïðñòóôþÿÿÿö÷øùúûüþÿÿÿýÿÿÿýÿÿÿýÿÿÿýÿÿÿýÿÿÿýÿÿÿýÿÿÿþÿÿÿþÿÿÿ þÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿRoot Entryÿÿÿÿÿÿÿÿ ÀF ‹â&WïÒ@Data ÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿ 1Tableÿÿÿÿÿÿÿÿt WordDocument ÿÿÿÿWSummaryInformation(ÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿb”%DocumentSummaryInformation8ÿÿÿÿÿÿÿÿõMsoDataStoreÿÿÿÿÿÿÿÿ à&WïÒ à&WïÒØJ3KÜÇÎØ0UÒ×ÝÏTÖÞÐÄT0A==2ÿÿÿÿÿÿÿÿ à&WïÒ à&WïÒItem ÿÿÿÿ ÿÿÿÿPropertiesÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿUCompObjÿÿÿÿ rÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿþÿÿÿ þÿÿÿ þÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿÿ þÿ ÿÿÿÿ ÀF Document Microsoft Word 97-2003 MSWordDocWord.Document.8ô9²q